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08/11/2011
Nouveau plan d'austérité de la France pour garder son triple A
4 commentaires:
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J'ai noté que ceux qui tombent dans les attaques personnelles (que je supprime) le font de manière anonyme... Ensuite, ils ont l'audace de suggérer que j'exerce la censure.
Voir "Les collectivités sous surveillance" | Localtis.info
RépondreSupprimern'oublions cependant pas que de l'autre coté de la dette il y a des créances détenues par certains pays à trésorerie positive (la chine par exemple) mais surtout, pour l'essentiel, par les acteurs économiques courants, entreprises et particuliers...
RépondreSupprimerle japon vit très bien financièrement avec une dette triple de la nôtre, détenue par les particuliers japonais qui se contentent de taux très faibles,
les français disposent d'un bas de laine équivalent à la dette de l'état comme les italiens, le stock d'assurances vie a longtemps été supérieur à la dette et composé essentiellement d'emprunts d'état,
reste à trouver le bon équilibre sur le long terme, cela suppose de dépenser utilement (ce qui n'est pas dans les vertus de nos politiques actuels, à l'évidence pour ceux de droite au pouvoir depuis 10 ans, sursis pour la gauche qui devra peut être s'y mettre...) et de faire payer la note sans attendre le déluge, donc de faire rentrer les impôts au niveau adapté en prenant l'argent là où il est, en principe plus chez les riches que chez les pauvres... et en se demandant quelle est la finalité d'un cadeau de 30000000€ fait à mme bettancourt? pour elle comme pour l'état?
Dire que 90% de la dette japonaise est détenue par les résidents japonais n'élude pas le problème de la dette. Cela signifie que des résidents japonais ont une épargne qui résulte forcément de l'application de la fiscalité. Si le Japon devait faire défaut sur le paiement des intérêts de sa dette ou sur partie ou totalité du capital, cela reviendrait à dire que le gouvernement taxerait ceux qui ont constitué des surplus... "Je vous taxe pour ce que vous n'avez pas payé parce que telle fut ma politique". Dépenses et recettes publiques résultent de choix de société, du fonctionnement de l'économie et de sa place dans le contexte international. Rien n'est figé définitivement et tout peut changer sur le temps long.
RépondreSupprimerComprendre les différences de taux d'intérêts de la dette souveraine le "spread". La Grèce ne vend plus de bons d'État sur les marchés... elle attend les 8G€ de tranche supplémentaire de l'EuroGroup pour ne pas être en cessation de paiements à ses fonctionnaires et payer ses engagements échus... Alors d'où vient le 22% indiqué par les médias? Idem pour l'Italie avec ses 7%? Ou pour la France avec ses 3.2%.
RépondreSupprimerTrois processus différents jouent.
1: L'Agence France Trésor a vendu pour 8.8G€ de bons d'état la semaine dernière. Cela se passe par internet et ordinateurs dans les bureaux de Bercy par un système de vente aux enchères. AFT vend 8.8G€ bons d'état à x% d'intérêt, et reçoit en réponse des offres de preneurs... La vente se concrétise quand la totalité des 8.8G€ a trouvé preneurs mettons à 3.22% d'intérêt. C'est le taux d'intérêt qui est la variable d'égalisation de l'offre et de la demande.
2: Les détenteurs de bons d'État Grecques ou Italiens vendent des bons d'États sur le marché, mettons des bons à 1000€ à 3.5% d'intérêt soit 35€/an. Ils ne trouvent preneurs qu'à 500€. Le preneur bénéficie alors d'un taux d'intérêt sur ses bons de 7%, cad. 35€/500. La variable d'égalisation de l'offre et de la demande est le prix d'échange du bon. La décote est de 50%. Les détenteurs vendent parce qu'ils ont besoin de fonds; les acheteurs parce qu'ils ont des fonds à placer. Et les banques détentrices vendent parce qu'elles ont peur de la chute des cours en bourse des bons, ce qui impliquerait des pertes comptables et des difficultés sur leurs bilans.
3: Lors de la vente de bons nouveaux sur le marché, les investisseurs tiennent compte de la
situation du marché cad. des cours de bons de la dette souveraine. On retrouve alors le processus 1: