Le
président russe était mardi à Téhéran pour un sommet tripartite avec ses
homologues iranien et turc. La Syrie, la guerre en Ukraine et la
coopération économique étaient au menu des discussions, mais selon la
presse internationale, le Kremlin cherchait surtout à démontrer qu’il
n’est pas le paria international décrit par les Occidentaux.Vladimir
Poutine lui-même n’en espérait peut-être pas tant. Avant de retrouver
le président iranien, Ebrahim Raïssi, et son homologue turc, Recep
Tayyip Erdogan, le président russe a été reçu par le guide suprême
iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, qui l’a chaudement félicité pour
l’invasion de l’Ukraine.