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03/05/2021

Impots

Depuis les années 60, la chose est connue, le taux de prélèvement obligatoire dans notre pays ne cesse de monter. Du raisonnable 30% des débuts, il a franchi la barre des 40% au commencement des années 80 et en 2018 celle des 45%. Le garrotage des entreprises est allé en augmentant à mesure que de nouvelles impositions diverses et variées étaient créées, notamment des taxes locales comme la TEOM , chaque nouvelle strate de collectivité (telles les EPCI ) ayant à cœur de se constituer des ressources propres.

28/04/2021

La Cour des comptes rend public son rapport sur le budget de l'État en 2020: 13 avril 2021.

La Cour des comptes rendait mi-avril son rapport sur le budget 2020 de l’Etat. Sans surprise, la pandémie a aggravé le déficit et la dette publics. La Cour des comptes regrette également un suivi et un pilotage insuffisant des budgets. L’Etat dépense littéralement sans compter. En 2020, l’Etat a dépensé 389,7 milliards d’euros pour son budget général, c’est-à-dire 15,5% de plus qu’en 2019. Près de la moitié de cet argent vient d’un endettement public, et non de recettes publiques. Suite via IREF par Adélaïde Motte 

18/03/2019

Le matraquage fiscal des plus aisés, issue inéluctable du grand débat?

Pour stigmatiser les riches, les Français ont longtemps parlé des «deux cents familles».Plus près de nous, il y a eu l'ISF (impôt sur la fortune) et ses «ploutocrates», avant la transformation (2017) en IFI, impôt sur la fortune immobilière. L'ISF était acquitté par 350.000 personnes, grosso modo 1 % des 38 millions de «foyers fiscaux», alors que l'IFI touche 120.000 contribuables. Avec le «nouveau monde» de la macronie, un nouveau concept a surgi: les «20 %», soit «les deux déciles supérieurs en revenus» de la population. Ils regroupent 7,6 millions de «foyers fiscaux», un peu plus de 13 millions de gens en incluant les enfants (dans une France de 67 millions d'habitants, selon l'Insee). En ces temps de zéro croissance, c'est à eux qu'il faut prendre pour donner aux 80% et les satisfaire.   Suite...

15/03/2019

La France malade de l'impôt

Avec une pression fiscale et sociale de 57 %, la France est le pays développé où la richesse produite est la plus ponctionnée et le quinquennat d'Emmanuel Macron ne semble pas marquer une rupture à cet égard. Les quelques baisses de charges pour les entreprises ou le rabotage de l'ISF n'ont que l'apparence de progrès. Les mécanismes fondamentaux de la déviance fiscale sont toujours bien présents qui voient un État aux abois instrumentaliser l'impôt.      Suite...

30/11/2018

Ras le bol fiscal; la poudrière!

Emmanuel Macron doit stopper le train infernal de la fiscalité verte !

macron_2018.jpgSource: ifrap.org Agnès Verdier-Molinié
Le gouvernement veut éteindre l'incendie de la révolte fiscale ? Il ne peut pas, dans ce cas, esquiver la question du tsunami de la fiscalité verte qui va nous tomber dessus. Selon les prévisions actuelles des finances publiques pour 2022, le produit de la fiscalité énergétique passerait, sous la présidence Macron, de 50 à… 67 milliards. Or, 17 milliards de plus, c'est une augmentation jamais vue, un Everest fiscal. Il est là, le cap infranchissable de la fiscalité écologique.

26/11/2018

Explosion des impôts sur les ménages depuis 2009 par Eric Verhaeghe

Y a-t-il eu ou non une explosion des impôts sur les ménages depuis 2009? Assez curieusement, alors que les Gilets Jaunes bloquent les rues depuis plusieurs jours pour exprimer leur ras-le-bol fiscal, aucune étude posée n’a examiné clairement ce sujet. Les quelques lignes qui vont suivre se proposent de combler modestement ce vide en approchant un sujet touffu qui mériterait des études bien plus fournies… Le lecteur fera donc preuve d’indulgence, on l’espère, pour les manques d’un article qui n’a pas la prétention de se substituer à une étude universitaire ou scientifique en bonne et due forme.  Suite...

18/11/2018

François Baroin président de l'association des maires de France AMF, sur BFM TV ce dimanche

La politique c'est l'art de se colletiner avec les prolèmes insolubles! Edgar Faure
Il ne faut pas compter sur ceux qui ont crée les problèmes pour les résoudre. Albert Einstein

05/07/2017

Le gouvernement reporte les baisses d'impôts


 Source: economiematin.fr
 
La taxe d’habitation survivra encore des années, en 2018 il n’y aura qu’une seule réforme.
 
C’était la grande réforme annoncée par Emmanuel Macron durant la campagne électorale et elle a sans aucun doute joué sur son élection : la fin de la taxe d’habitation pour une grande partie des ménages français. Une réforme chère, près de 10 milliards d’euros, qui aurait permis à 80 % des ménages d’être exonérés de cette taxe. Au programme : un gain de près de 500 euros par an en moyenne. Il n’en sera rien. Edouard Philippe l’a repoussée vers la fin du quinquennat, sans plus de précisions.

01/07/2017

A propos du rapport de la Cour des comptes; on nous prend vraiment poir des cons(tes)

C'est exactement ce que j'ai pensé. 

Chronique de Natacha Polony : «Tout change parce que rien ne change»

Sans doute Macron était-il trop occupé au lancement de son mouvement politique pour s'intéresser aux grands équilibres budgétaires prévus pour l'année suivante.
Insincère. Le terme est joliment euphémistique. L'insincérité ressemblerait à de la bonne vieille filouterie. Nous parlons bien d'un président de la République et d'un ministre des Finances qui produisent un budget de la Nation qu'ils ont volontairement rendu non conforme à la réalité des comptes. Nous parlons de ce qui va déterminer la possibilité pour l'État de financer des équipements, de baisser ou non des impôts, d'aider ou non les citoyens et les entreprises, de questions qui touchent à la vie de chacun. Tout cela a été «bidouillé» comme, dans une arrière-cuisine, on glisse un somnifère dans le plat principal pour endormir les convives. Nous parlons surtout de gens qui, au moment où ils concoctaient cette potion, craignaient que la droite n'emporte facilement l'élection présidentielle. Il s'agissait donc de laisser ce cadeau de bienvenue. Et puis, on pouvait se permettre d'accorder quelques largesses aux fonctionnaires: au pire, le successeur paierait, au mieux, on aurait le pouvoir pour cinq ans encore, et toute autre considération s'efface devant pareille félicité.
À l'époque où ce budget était élaboré au 5e étage de Bercy, le ministre du 6e faisait ses valises.

28/05/2015

Les communes contraintes à réduire leurs dépenses, s'endetter ou augmenter les impôts

Vases communicants entre l'état et les collectivités territoriales. On va continuer à payer toujours plus d'impôts, du moins ceux qui en paient, mais il y en aura de moins en moins..

Suite...

Plus: Budget des communes

Je publie ces articles de Var Matin car ils m'interpellent. Voir ces réflexions.

17/04/2015

L’envolée de la fiscalité marginale | Fondation IFRAP

Les débats sur la fiscalité sont en règle générale limités à des considérations macroéconomiques, où l’on observe globalement les différentes impositions et leur rendement, souvent pour conclure qu’il y a ou non une augmentation de cette fiscalité. Nous étudions ici la seule fiscalité marginale des particuliers, dont l’évolution est très significative. La France est dans l’OCDE la deuxième nation (après la Turquie) qui, entre 2007 et 2013, a le plus augmenté la fiscalité globale avec un taux d'augmentation de 2,7% du PIB, et elle est aussi dans le même temps la deuxième nation (après le Danemark) dont le taux de prélèvements obligatoires est le plus élevé, avec 45% du PIB. Et on ne peut pas prétendre que la fiscalité des particuliers n’a pas d’importance au plan économique. Suite...

13/04/2015

Les prélèvements obligatoires devraient baisser dès 2016

Cela fait six ans, depuis 2009 donc, qu’ils augmentent systématiquement (ou qu'ils stagnent). Alors on peine presque à croire qu'ils puissent baisser un jour ! Et pourtant. Dans ses prévisions de budget, Bercy prévoit une baisse des prélèvements obligatoires dès 2016, soit plus rapidement que prévu ! Sans même attendre 2017, année électorale... Suite...

Plus de la moitié des Français estime que la première chose que doit faire le gouvernement est baisser les impôts.

Le ras-le-bol fiscal serait-il passé de mode ? Ce serait exagéré de l’affirmer alors qu’un Français sur deux exprime encore le souhait de voir diminuer les impôts des ménages. Mais, il y a deux enseignements à tirer de ces résultats qui marquent une vraie évolution de l’opinion. Près d’un tiers juge que la baisse des impôts n’est pas la priorité des prochains mois, qu’il s’agisse des ménages ou des entreprises : c’est le signe que le discours sur la nécessité de réduire les déficits est en train de s’ancrer dans l’opinion. Car les impôts contribuent à cette réduction, parallèlement à la réduction des dépenses. Suite...

16/03/2015

Un emploi public créé détruit 1.5 emploi dans le secteur privé

 La part totale des effectifs de la fonction publique (État, collectivités locales et fonction hospitalière), du secteur parapublic, des entreprises publiques et des organismes privés à financement public, est de 25,4% de l’emploi total, et  l’emploi privé hors fonction publique est de 74,6% (source SIASP, Insee). Mais cette catégorisation exclut de nombreux secteurs marchands qui bénéficient de subventions importantes de l'État, ainsi que les associations qui dépendent de financements publics,  la réserve parlementaire et les emplois aidés. Si l’on ajoute le nombre d’agents de la fonction publique (5.6 millions), ceux du secteur parapublic (2 millions), les chômeurs catégorie A (3,2 millions), les personnes qui bénéficient de minimas sociaux (1,3 million), les salariés du secteur associatif rémunérés par de l’argent public (1 million), les employés et les travailleurs temporaires dans le secteur agricole subventionné (1 million), et les 750000 emplois aidés, on arrive à un total de 14,75 millions de personnes soit la moitié de la population active qui sont payés par l'État! L'État est obèse  et comme tout obèse il finit par plus pouvoir agir ni se mouvoir. Suite...

12/03/2015

RSI : un véritable succès pour la manifestation contre le ras-le-bol fiscal

Des dizaines de milliers de manifestants ont défilé à Paris lundi contre le Régime social des indépendants (RSI). Ce rassemblement initié par "Sauvons nos entreprises" et auquel d'autres collectifs ont activement participé, dont Contribuables Associés, a été une véritable réussite. Victoire logistique par l’union intelligente de l’ensemble des mouvements, comme Contribuables Associés, qui ont répondu à l’initiative de "Sauvons nos entreprises" pour demander une réforme profonde du système aberrant qu’est le RSI. Rassemblées et mêlées dans le cortège, les différentes professions et associations ont fait corps contre un mal commun. Suite...

- Manifestation contre le ras le bol fiscal. 
- Matraquage fiscal; votez aux départementales.

06/03/2015

On va dans le mur... il faut agir d'urgence | Fondation IFRAP

Tout le monde – ou presque – est d’accord, de la gauche à la droite : l’Etat doit être réformé au plus vite. Et la baisse de la dépense publique est une priorité absolue. Mais alors qu’attendons-nous pour passer à l’action ? Face à un système devenu fou, en vérité personne ne sait comment faire. Pourtant on sait que l’empilement – des taxes, des lois, des décrets, des aides sociales, des strates administratives, des régimes de retraite, des exonérations – a produit un monstre dont la complexité et les dérives sont chaque année plus coûteuses pour les Français. En comparant les bonnes pratiques en France et à l’étranger et en montrant comment sortir de ce terrible engrenage, Agnès Verdier-Molinié, directeur de la Fondation iFRAP, s’attaque dans son nouvel ouvrage à une machine qui doit d’urgence être mise hors d’état de nuire. Pendant 30 ans, on a empilé sans retenue et rien ne s’est passé. La suite sur le site de l'Ifrap.

Plus: On va dans le mur au Grand journal.

22/02/2015

Terrorisme fiscal : la taxation du « loyer fictif » de nouveau sur la table !

Et voilà, on remet le couvert… Il faut bien trouver des sous ! Ainsi donc les propriétaires, qui ne paient pas de loyer, bénéficieraient d’un avantage en nature par rapport aux locataires… Ben voyons ! Ces pseudo-égalitaristes oublient  visiblement qu’un propriétaire, par le fait même d’acquérir le bien dans lequel il vivra, se prive de toutes sortes d’autres biens ou avantages  qu’il aurait pu obtenir en ne faisant pas d'épargne. Sans oublier les taxes acquittées au moment de l’achat, plus la taxe foncière chaque année ! Et tant qu’on y est, pourquoi ne pas étendre ce raisonnement à l’automobile, par exemple ? Ceux qui ont acheté leur voiture bénéficient bien d’un avantage par rapport à ceux qui l’ont prise en leasing, non ? Pas étonnant qu’une idée aussi lumineuse sorte d’un think tank socialiste.  Suite...