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21/05/2024

La France a-t-elle vraiment le record d'Europe... des prélèvements obligatoires ?

Le gouvernement s’est fixé une ligne rouge en matière budgétaire. L’assainissement des finances publiques ne passera pas par une hausse des impôts. L’enjeu de l’attractivité du territoire est trop prégnant pour que des motifs purement comptables engloutissent les petits acquis des dernières années. C’est donc par l’ajustement de ses dépenses que la France devra s’extraire de son impasse budgétaire.  Suite...

13/01/2024

Le Monde – Thomas Piketty : « Les règles européennes ont puissamment contribué à exacerber le dumping fiscal »

Après la mort de Jacques Delors, ancien président de la Commission, et avant les élections européennes de juin, l’économiste dresse, dans sa chronique, un bilan critique de l’histoire de la construction communautaire.    Suite via le Monde

03/05/2021

Impots

Depuis les années 60, la chose est connue, le taux de prélèvement obligatoire dans notre pays ne cesse de monter. Du raisonnable 30% des débuts, il a franchi la barre des 40% au commencement des années 80 et en 2018 celle des 45%. Le garrotage des entreprises est allé en augmentant à mesure que de nouvelles impositions diverses et variées étaient créées, notamment des taxes locales comme la TEOM , chaque nouvelle strate de collectivité (telles les EPCI ) ayant à cœur de se constituer des ressources propres.

28/04/2021

La Cour des comptes rend public son rapport sur le budget de l'État en 2020: 13 avril 2021.

La Cour des comptes rendait mi-avril son rapport sur le budget 2020 de l’Etat. Sans surprise, la pandémie a aggravé le déficit et la dette publics. La Cour des comptes regrette également un suivi et un pilotage insuffisant des budgets. L’Etat dépense littéralement sans compter. En 2020, l’Etat a dépensé 389,7 milliards d’euros pour son budget général, c’est-à-dire 15,5% de plus qu’en 2019. Près de la moitié de cet argent vient d’un endettement public, et non de recettes publiques. Suite via IREF par Adélaïde Motte 

25/04/2021

Augmenter les impôts ou pas : les questions décisives

 

La question fiscale sera inévitablement au cœur des débats dans les mois qui viennent. Nous retrouverons toutes les postures habituelles entre ceux qui veulent réduire la dépense pour éponger la dette, ceux qui veulent taxer les riches, ceux qui plaideront en faveur de l’hélicoptère monnaie : dépenser plus sans se soucier de la dette etc. Avant que le débat ne s’embrase sérions déjà les bonnes questions à se poser face à l’impôt.

13/04/2020

La France pourra-t-elle vraiment s'en sortir sans augmenter les impôts ?


 
LA QUESTION. En tant que ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin a été le premier à l'affirmer : la sortie de la crise économique découlant de la pandémie de Covid-19 «ne passera pas par une augmentation des impôts» en France. «Attention aux fausses bonnes solutions qui par le passé ont contribué à creuser le chômage et à casser la confiance», a-t-il insisté dans une interview à Ouest France. La mise au point n'était pas superflue au moment où le gouvernement reconnaît officiellement que le déficit public triplera cette année pour atteindre 7,8% du PIB en 2020.

18/03/2019

Le matraquage fiscal des plus aisés, issue inéluctable du grand débat?

Pour stigmatiser les riches, les Français ont longtemps parlé des «deux cents familles».Plus près de nous, il y a eu l'ISF (impôt sur la fortune) et ses «ploutocrates», avant la transformation (2017) en IFI, impôt sur la fortune immobilière. L'ISF était acquitté par 350.000 personnes, grosso modo 1 % des 38 millions de «foyers fiscaux», alors que l'IFI touche 120.000 contribuables. Avec le «nouveau monde» de la macronie, un nouveau concept a surgi: les «20 %», soit «les deux déciles supérieurs en revenus» de la population. Ils regroupent 7,6 millions de «foyers fiscaux», un peu plus de 13 millions de gens en incluant les enfants (dans une France de 67 millions d'habitants, selon l'Insee). En ces temps de zéro croissance, c'est à eux qu'il faut prendre pour donner aux 80% et les satisfaire.   Suite...

15/03/2019

La France malade de l'impôt

Avec une pression fiscale et sociale de 57 %, la France est le pays développé où la richesse produite est la plus ponctionnée et le quinquennat d'Emmanuel Macron ne semble pas marquer une rupture à cet égard. Les quelques baisses de charges pour les entreprises ou le rabotage de l'ISF n'ont que l'apparence de progrès. Les mécanismes fondamentaux de la déviance fiscale sont toujours bien présents qui voient un État aux abois instrumentaliser l'impôt.      Suite...

06/12/2018

Gilets jaunes, une vraie grogne sociale liée à la hausse des dépenses incompressibles, à revenus...

Si les classes moyennes et populaires se sentent asphyxiées, c'est parce que leurs revenus progressent moins que les hausses de certains prix depuis des années - à cause austérité de l'Europe et de l'€ . Leurs dépenses contraintes se sont envolées si bien que depuis des années, "le reste à vivre" aujourd'hui est fortement  réduit .  Tandis que le "reste à charge" n'a fait qu'augmenter et les dernières annonces de hausses par le gouvernement Macron ont fait déborder le vase. D'où les "Gilets Jaunes"..Suite...

Le coût (infime) de la démocratie représentative


Pour les Gilets jaunes, il suffit de serrer la ceinture aux élus, au gouvernement, à l'Assemblée nationale et au Sénat pour trouver de l'argent. C'est Faux. C'est une antienne qu'on entend beaucoup chez les Gilets jaunes. Si les députés, les sénateurs et les ministres se serraient la ceinture, cela dégagerait des moyens considérables pour améliorer la vie des gens comme eux. Malheureusement, les sommes en jeu ne sont pas du tout à l'échelle. Nous avons interrogé le spécialiste des dépenses des élus et du gouvernement, René Dosière, pour en rendre compte. L'ancien député socialiste, qui a passé son temps à contrôler les dépenses des uns et des autres, révèle le véritable coût de la démocratie et du gouvernement de la France. Suite...

30/11/2018

Ras le bol fiscal; la poudrière!

Emmanuel Macron doit stopper le train infernal de la fiscalité verte !

macron_2018.jpgSource: ifrap.org Agnès Verdier-Molinié
Le gouvernement veut éteindre l'incendie de la révolte fiscale ? Il ne peut pas, dans ce cas, esquiver la question du tsunami de la fiscalité verte qui va nous tomber dessus. Selon les prévisions actuelles des finances publiques pour 2022, le produit de la fiscalité énergétique passerait, sous la présidence Macron, de 50 à… 67 milliards. Or, 17 milliards de plus, c'est une augmentation jamais vue, un Everest fiscal. Il est là, le cap infranchissable de la fiscalité écologique.

26/11/2018

Explosion des impôts sur les ménages depuis 2009 par Eric Verhaeghe

Y a-t-il eu ou non une explosion des impôts sur les ménages depuis 2009? Assez curieusement, alors que les Gilets Jaunes bloquent les rues depuis plusieurs jours pour exprimer leur ras-le-bol fiscal, aucune étude posée n’a examiné clairement ce sujet. Les quelques lignes qui vont suivre se proposent de combler modestement ce vide en approchant un sujet touffu qui mériterait des études bien plus fournies… Le lecteur fera donc preuve d’indulgence, on l’espère, pour les manques d’un article qui n’a pas la prétention de se substituer à une étude universitaire ou scientifique en bonne et due forme.  Suite...

18/11/2018

François Baroin président de l'association des maires de France AMF, sur BFM TV ce dimanche

La politique c'est l'art de se colletiner avec les prolèmes insolubles! Edgar Faure
Il ne faut pas compter sur ceux qui ont crée les problèmes pour les résoudre. Albert Einstein

01/09/2018

Prélèvement à la source: un «arrêt» n'est pas exclu

Gérald Darmanin, ministre des Comptes publics, a admis samedi que "l'arrêt" du prélèvement à la source n'était pas exclu, évoquant des considérations sur les potentiels effets "psychologiques" de la réforme censée entrer en vigueur début 2019.

Suite...

22/11/2017

La Cour des comptes sur les finances publiques locales 2016

Synthèse du rapport 

Le document in extenso sur le site de la cour  des comptes

Extraits:
En comptabilité nationale, les administrations publiques locales (APUL) portent18 % de la dépense publique et 11 % de la dette publique . Elles sont concernées (*), au même titre que l’État et les organismes de sécurité sociale, par le respect des engagements européens de la France en matière de redressementdes comptes publics . L’évolution de leurs dépenses, de leurs recettes et de leursolde est d’ailleurs intégrée aux lois de programmation des finances publiques etaux programmes annuels de stabilité . L’importance des transferts financiers del’État vers les collectivités locales (101 Md€ en 2016) est une autre raison de leur implication dans la stratégie de redressement des comptes publics.
 
 (*) En comptabilité nationale, les collectivités locales représentent 86 % des dépenses des APUL .
L’agrégat des collectivités locales est constitué des comptes des budgets principaux et des
budgets annexes des collectivités territoriales (communes, départements, régions) et de leurs
groupements (communautés de communes, communautés d’agglomération, communautés
urbaines, métropoles), des comptes des syndicats intercommunaux n’exerçant pas d’activité
industrielle et commerciale et des comptes des régies sans autonomie de gestion . Les établis-
sements publics à caractère industriel et commercial (EPIC), les régies dotées de la personnalité
morale et les sociétés d’économie mixte (SEM) sont exclus des APUL .