Comment la grève et la réforme des retraites sont-elles perçues aux États-Unis ?
La grève, c’est quelque chose de relativement exotique pour les États-Unis, parce qu’on ne connaît pas ce genre de situation. Il n’y a pas de mobilisation régulière comme en France. Les transports en commun et publics existent très peu, ou uniquement dans les grandes villes.
Concernant la réforme, on comprend l’inquiétude : vous avez le taux de pauvreté chez les retraités le plus bas du monde. Les Français voient leur système – enviable, admirable et unique – devenir sujet à l’ingérence de M. Macron.