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24/05/2021

Services publics: DYSFONCTIONNEMENTS Nos services publics marchent sur la tête. Mais des fonctionnaires ont décidé de prendre le taureau par les cornes

Le collectif "Nos services publics" décrypte les dysfonctionnements structurels des services publics français. Pourquoi est-il si difficile de réformer les services publics dans notre pays et de quels maux souffrent-ils?  par Arnaud Bontemps, porte-parole du collectif "Nos services publics".  Lu sur  Atlantico

Atlantico : Enarque et fonctionnaire, vous avez créé le collectif Nos services publics pour décrypter les dysfonctionnements structurels de nos services publics. De quels maux souffrent ces derniers?

28/12/2020

Nouveau management public! Quesaco?

 

Je lis  cette citation d'Henri Gaino dans FigaroVox "Ce que nous payons au prix fort, ce sont les dégâts causés par une idéologie néolibérale qui depuis quarante ans ne regarde toute dépense publique que comme un coût à réduire à tout prix" Cela m'amène à rechercher ce qu'il y a derrière cela. Il s'agit d'un débat sur le "Nouveau Management public" traduit de l'anglais "New Public Management". En voici la présentation extait de la revue Sciences Humaines de janvier 2021 LIEN.  

04/05/2019

Impôts, dépenses et services publiques, trouver le juste équilibre; le casse tête depuis toujours.

La crise des gilets jaunes a montré que notre pays avait atteint un niveau de ras-le-bol fiscal tel qu’une seule mesure – la hausse de la taxe sur les carburants – pouvait déclencher une vague de contestation et une crise sociale, comme rarement connue.

Avec les mesures de baisse d’impôts annoncées en fin d’année pour près de 11 milliards d’euros et le grand débat organisé depuis, on assiste à une sorte de concours Lépine de la réforme fiscale française plutôt que de s’attaquer au problème numéro 1 de notre pays: notre record en matière de dépenses publiques.

15/03/2019

La France malade de l'impôt

Avec une pression fiscale et sociale de 57 %, la France est le pays développé où la richesse produite est la plus ponctionnée et le quinquennat d'Emmanuel Macron ne semble pas marquer une rupture à cet égard. Les quelques baisses de charges pour les entreprises ou le rabotage de l'ISF n'ont que l'apparence de progrès. Les mécanismes fondamentaux de la déviance fiscale sont toujours bien présents qui voient un État aux abois instrumentaliser l'impôt.      Suite...

27/12/2018

Il faut que le travail paie... Quesaco?

Le travail paie, qu'est-ce à dire ? | L’économie par terre ou sur terre ? | Jean-Marie Harribey

Un excellent papier de Jean-Marie Harribey. Je me demande toujours pourquoi les gilets jaunes et tout le monde se plaint que les revenus stagnent, que les dépenses contraintes augmentent et amputent le pouvoir d'achat pas seulement des moins payés, mais de tout le monde... Mais à qui bénéficient  ces hausses de dépenses contraintes, car c'est un jeu à système de vases communicants que notre économie. Voici la réponse.

     Le leitmotiv libéral « il faut que le travail paie » masque le fait que, au sens propre, c’est le travail qui paie tout. Parce que seul le  travail engendre de la valeur ajoutée monétaire et que celle-ci, examinée en termes de répartition, se déverse en salaires, profits et  transferts sociaux. C’est donc le travail qui engendre tous les revenus. Ce ne serait pas exagéré de dire que ce sont les travailleurs qui paient les profits des capitalistes, en plus de leurs propres salaires,  les pensions aux retraités, les allocations aux chômeurs, etc. Ah, me  direz-vous, les employeurs paient la masse salariale, achètent les  machines, etc. Oui, ce faisant, ils avancent du capital. Et la  valeur ajoutée produite par les travailleurs les rembourse, avec en sus  le profit, qui accroît le capital... Bref, c'est l'activité de travail qui paie tout!

Lire la suite par Jean-Marie Harribey.

19/10/2016

Cash investigation à Nice le nouveau Stade et Estrosi

L'émission d'Elise Lucet en replay pluzz



Cette émission reflète bien l'incompréhesion voire l'ignorance des français en économie; les français n'aiment pas les entreprises, ni le capital, ni le capitalisme; les français aiment les services et les dépenses publiques dont la gabegie depuis plus de 3 décennies ont conduit le pays dans la situation d'aujourd'hui. Tout est juste dans cette excellente émission du point de vue de la collecte des faits et données. Mais c'est l'interprétation qui est mauvaise: "Quand le privé s'enrichit sur le dos du public". Voilà toute l'orientation de l'émission. Je dis tout est juste sauf qu'il manque deux éléments qui auraient pu montrer le parti pris de "Cash Investigation". Le cours de comptabilité qu'Estrosi voulait donner, qu'il a peut-être donné mais que l'émission n'a pas retransmis; et les données sur la rentabilité du projet que le directeur financier de Vinci aurait pu donner lorsque le journaliste de l'émission lui a demandé lors d'une assemblée générale de Vinci.

23/04/2014

Pour une fonction publique audacieuse et "Business friendly" | Institut Montaigne

Acteurs quotidiens de la cohésion sociale à travers l’éducation, la santé ou encore la mise en œuvre de la politique fiscale, les 5,5 millions d’agents publics que compte la France sont également acteurs de la compétitivité lorsqu’ils sont régulateurs, acheteurs ou producteurs de normes pour la vie des affaires. La gestion des ressources humaines au sein de la fonction publique devient aujourd’hui le principal levier de la modernisation de l’action publique : l’activer en vue d’améliorer la qualité et l’efficacité du service rendu constitue un objectif sans doute encore inédit mais qui va s’imposer très vite de manière prioritaire et continue. Lire la suite...

17/05/2013

Quel avenir pour les services publics ? / France Inter

D'évidence, les commentateurs de l'émission sont des adeptes du service et de la dépense publique. Le débat entre public et privé ne se pose pas en ces termes selon moi. On pourrait bien sûr tout produire en public. C'est ce qu'avait voulu faire l'URSS; cela semblait bien marcher au début (1917-1939) puis cela a dérivé jusqu'au fiasco et l'effondrement du régime en 1991. La question c'est: est ce que l'on produit mieux, moins cher - et plus si et quand il le faut - par le public.

23/08/2011

Ligue des droits de l'homme (LDH Cannes) colloque sur le démantèlement des services publics; 29 janvier 2011

Un rappel dans la situation de ce mois d'août 2011
La ligue des droits de l'homme section de Cannes-Grasse organise le 29 janvier 2011 un colloque d'une journée sur le thême "démantèlement des services publics". Hôpital, Police, Armées, Éducation, les voix ne manquent pas pour dénoncer la réduction des services publics. Les cadeaux fiscaux, les compensations sous-estimées et jamais réalisées... Lire.

21/01/2010

D’où vient la « débâcle » des services publics ? - iFRAP


l'Ifrap réagit à Marianne2: D'où vient la « débâcle » des services publics ? La débâcle des services publics viendrait, au choix, de la règle du non remplacement d’un fonctionnaire sur deux partant en retraite ou de la privatisation rampante de nos services sous monopole. Et si cette débâcle venait du fait qu’on investit toujours plus en masse salariale et toujours moins en équipements, au grand désavantage des usagers des services publics?