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10/12/24

Philippe Dessertine: la situation de la France demande des réformes profondes de l'état


Philippe Dessertine : « Commençons par réformer les services publics. ENTRETIEN. Selon l’économiste, le budget 2025, qui s’appuie sur l’impôt, passe à côté de l’essentiel : une restructuration profonde de la dépense publique... Suite

5/21/24

La France a-t-elle vraiment le record d'Europe... des prélèvements obligatoires ?

Le gouvernement s’est fixé une ligne rouge en matière budgétaire. L’assainissement des finances publiques ne passera pas par une hausse des impôts. L’enjeu de l’attractivité du territoire est trop prégnant pour que des motifs purement comptables engloutissent les petits acquis des dernières années. C’est donc par l’ajustement de ses dépenses que la France devra s’extraire de son impasse budgétaire.  Suite...

6/26/22

Patrick Artus – Quand déficit public signifie hausse d'impôts visibles ou cachés.

source Le Point

Le contexte économique va engendrer une hausse durable de la dette publique, dont la soutenabilité passera forcément par diverses formes de fiscalité.

5/7/22

Salaires, impôts, retraite, transition énergétique… soyons clairs par Patrick Artus

Le ministere de l'Economie et des Finances.

Salaires, impôts, retraite, transition énergétique… Chaque proposition devrait être accompagnée d’une analyse de ses effets macroéconomiques.

3/19/22

Patrick Artus – Les caractéristiques et les dangers d’une « économie de guerre »

La chute de la production, l’inflation et la transition énergétique pourraient bien nous plonger dans ce que l’on appelle la « théorie monétaire moderne ».

8/7/21

Impôts et Phlippe Juvin: médecin urgentiste à Pompidou, maire de Bois Colombes, candidat à la présidentielle 2022

 La France est-elle le seul pays à disposer d'impôts de production, comme l'affirme Philippe Juvin ?

Le candidat à la primaire de la droite et du centre Philippe Juvin a affirmé sur franceinfo que les impôts sur la production étaient une spécificité française, au détriment des entreprises du pays. Mais c'est inexact.

5/24/21

Artus – Économie française : trois utopies, trois illusions - Le Point

La crise sanitaire peut-elle avoir des effets benefiques pour l'economie francaise ?

CHRONIQUE. La crise sanitaire a révélé les failles de la globalisation. Réindustrialisation, croissance, fin des hausses d’impôts : est-ce vraiment envisageable ? 

Nous nous intéressons à des évolutions de l'économie française qu'on présente comme désirables et réalisables et qui, en réalité, ont une probabilité infime de se réaliser ; nous les appelons les utopies économiques de la France. La première est la réindustrialisation, la deuxième est le redressement de la croissance en raison de la digitalisation de l'économie, la troisième est la capacité à éviter des hausses d'impôts.

5/3/21

Impots

Depuis les années 60, la chose est connue, le taux de prélèvement obligatoire dans notre pays ne cesse de monter. Du raisonnable 30% des débuts, il a franchi la barre des 40% au commencement des années 80 et en 2018 celle des 45%. Le garrotage des entreprises est allé en augmentant à mesure que de nouvelles impositions diverses et variées étaient créées, notamment des taxes locales comme la TEOM , chaque nouvelle strate de collectivité (telles les EPCI ) ayant à cœur de se constituer des ressources propres.

5/2/21

La déclaration de revenus : de 4 pages en 1974 à…14 pages et 300 cases en (...) - IREF Europe

Il était une fois la déclaration de revenus 1974... Certains parmi nous se rappellent, d’autres iront voir dans leurs archives... Elle faisait 4 pages. En langage administratif, un A3 recto, verso. C’est tout ? Oui, c’était tout ! Vingt ans plus tard, en 1994, elle avait évolué, mais de peu : 6 pages. Enfin, grâce aux avancées informatiques, la dématérialisation a gagné ce secteur comme bien d’autres. Mais pourquoi a-t-on l’impression que la simplification annoncée n’est pas tout à fait réelle ?   Suite sur Ireps.org 

4/25/21

Augmenter les impôts ou pas : les questions décisives

 

La question fiscale sera inévitablement au cœur des débats dans les mois qui viennent. Nous retrouverons toutes les postures habituelles entre ceux qui veulent réduire la dépense pour éponger la dette, ceux qui veulent taxer les riches, ceux qui plaideront en faveur de l’hélicoptère monnaie : dépenser plus sans se soucier de la dette etc. Avant que le débat ne s’embrase sérions déjà les bonnes questions à se poser face à l’impôt.

4/13/20

La France pourra-t-elle vraiment s'en sortir sans augmenter les impôts ?


 
LA QUESTION. En tant que ministre des Comptes publics, Gérald Darmanin a été le premier à l'affirmer : la sortie de la crise économique découlant de la pandémie de Covid-19 «ne passera pas par une augmentation des impôts» en France. «Attention aux fausses bonnes solutions qui par le passé ont contribué à creuser le chômage et à casser la confiance», a-t-il insisté dans une interview à Ouest France. La mise au point n'était pas superflue au moment où le gouvernement reconnaît officiellement que le déficit public triplera cette année pour atteindre 7,8% du PIB en 2020.

3/18/19

Le matraquage fiscal des plus aisés, issue inéluctable du grand débat?

Pour stigmatiser les riches, les Français ont longtemps parlé des «deux cents familles».Plus près de nous, il y a eu l'ISF (impôt sur la fortune) et ses «ploutocrates», avant la transformation (2017) en IFI, impôt sur la fortune immobilière. L'ISF était acquitté par 350.000 personnes, grosso modo 1 % des 38 millions de «foyers fiscaux», alors que l'IFI touche 120.000 contribuables. Avec le «nouveau monde» de la macronie, un nouveau concept a surgi: les «20 %», soit «les deux déciles supérieurs en revenus» de la population. Ils regroupent 7,6 millions de «foyers fiscaux», un peu plus de 13 millions de gens en incluant les enfants (dans une France de 67 millions d'habitants, selon l'Insee). En ces temps de zéro croissance, c'est à eux qu'il faut prendre pour donner aux 80% et les satisfaire.   Suite...

3/15/19

La France malade de l'impôt

Avec une pression fiscale et sociale de 57 %, la France est le pays développé où la richesse produite est la plus ponctionnée et le quinquennat d'Emmanuel Macron ne semble pas marquer une rupture à cet égard. Les quelques baisses de charges pour les entreprises ou le rabotage de l'ISF n'ont que l'apparence de progrès. Les mécanismes fondamentaux de la déviance fiscale sont toujours bien présents qui voient un État aux abois instrumentaliser l'impôt.      Suite...

12/6/18

Le coût (infime) de la démocratie représentative


Pour les Gilets jaunes, il suffit de serrer la ceinture aux élus, au gouvernement, à l'Assemblée nationale et au Sénat pour trouver de l'argent. C'est Faux. C'est une antienne qu'on entend beaucoup chez les Gilets jaunes. Si les députés, les sénateurs et les ministres se serraient la ceinture, cela dégagerait des moyens considérables pour améliorer la vie des gens comme eux. Malheureusement, les sommes en jeu ne sont pas du tout à l'échelle. Nous avons interrogé le spécialiste des dépenses des élus et du gouvernement, René Dosière, pour en rendre compte. L'ancien député socialiste, qui a passé son temps à contrôler les dépenses des uns et des autres, révèle le véritable coût de la démocratie et du gouvernement de la France. Suite...

8/31/18

Le prélèvement à la source: une usine à gaz à mettre tout le monde en colère

Le prélèvement direct sur les salaires n’est pas compatible avec le système fiscal français : il y a chez nous trop de niches et de choix fiscaux en faveur des familles, qui ne sont pas ceux des autres pays et qui compliquent trop le système. S’il s’agissait de simplifier le prélèvement, il suffisait de rendre obligatoire le prélèvement mensuel automatique. On aurait abouti au même résultat, sans soulever aucun problème... C'est une citation  du syndicat Sud du ministère de Bercy.    Suite....

4/24/18

Le gouvernement, les entreprises et la «cagnotte fiscale»


Le pari de Bruno Lemaire.... réduire les charges des entreprises pour augmenter leur compétitivité et ainsi leur production, l'emploi et les rentrées fiscales....
On ne baisse pas les dépenses publiques ; ​ et si ça ne marche pas, augmentation des impôts pour compenser. 
Lire la suite sur Libération.

11/14/17

Prélèvement à la source: Bercy tient à son usine à gaz

Tiens, c'est le retour du prélèvement à la source. Bercy tient à son usine à gaz.Le gouvernement Philippe avait confié à l'Inspection des Finances une mission sur sa faisabilité. Sans surprise, la mission conclut qu'il faut mettre en place cette réforme voulue par Bercy, mais ne passe pas sous silence les inconvénients qu'elle comportera, notamment pour les entreprises. Suite...


7/18/17

Impôt sur le revenu: de moins en moins de gens paient.

Impôt sur le revenu : un plus bas depuis 50 ans


Rassurez-vous, l'impôt sur le revenu rapporte toujours autant : encore 72 milliards d'euros dans les caisses de l'Etat en 2016. Mais, les chiffres le montrent, il est concentré sur un nombre de personnes toujours plus petit. La part des ménages français s'acquittant de l'IR n'a même jamais été aussi basse depuis les années1960 ! D'après le rapport annuel de la direction générale des finances publiques, seuls 16,1 millions de foyers fiscaux sur 37,7 millions étaient imposables l'an passé. C'est presque 1 million de moins qu'en 2015. La part des ménages non imposables est ainsi tombée à 42,8 %, en dessous de son dernier record de 2009 (43,4 %). Un rétrécissement qui résulte notamment de la politique de François Hollande dans la deuxième partie de son quinquennat. Aujourd'hui 10 % des ménages les plus aisés s'acquittent de 69 % des recettes d'impôt sur le revenu.
Source les Echos 18/7

7/5/17

Le gouvernement reporte les baisses d'impôts


 Source: economiematin.fr
 
La taxe d’habitation survivra encore des années, en 2018 il n’y aura qu’une seule réforme.
 
C’était la grande réforme annoncée par Emmanuel Macron durant la campagne électorale et elle a sans aucun doute joué sur son élection : la fin de la taxe d’habitation pour une grande partie des ménages français. Une réforme chère, près de 10 milliards d’euros, qui aurait permis à 80 % des ménages d’être exonérés de cette taxe. Au programme : un gain de près de 500 euros par an en moyenne. Il n’en sera rien. Edouard Philippe l’a repoussée vers la fin du quinquennat, sans plus de précisions.