
Des voix s’élèvent pour dénoncer l’inefficacité des grands-messes de la lutte contre le changement climatique, qui apportent toutefois quelques avancées.
Organisées depuis trois décennies, les conférences des parties (COP) de la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) sont devenues les grands-messes de la lutte contre le changement climatique. Mais à l’image de la COP26 qui vient de s’achever à Glasgow (Écosse), les frustrations sont toujours grandes pour les experts comme pour les activistes, et parfois pour les négociateurs, qui ne peuvent que constater la lourdeur et l’efficacité toute relative des négociations, parfois combinés à un manque flagrant de volonté politique.