POLITIQUE - Secret d’Histoire : Jean-Luc Mélenchon « adore » Stéphane Bern. Invité à prendre la parole à la Fête de l’Humanité ce samedi 10 septembre, le chef de file de la France insoumise à la dernière élection présidentielle s’est exprimé, pour la première fois, sur la mort de la reine Elizabeth II. Le tout, au détour d’un développement sur le populisme de gauche, et en déplorant dans le même temps le traitement médiatique qui est fait en France de cet événement très britannique.
Avec la crise du « People’s Budget », la Chambre des lords a perdu tout pouvoir législatif véritable, rendant la trajectoire politique et institutionnelle du Royaume-Uni proche de celle de la France, rappelle l’économiste dans sa chronique.
Avec la disparition d’Elizabeth II, il est tentant d’évoquer l’immuabilité des institutions britanniques, à l’opposé de la France et de ses multiples révolutions et Constitutions. Les choses sont, en réalité, plus complexes, et les deux pays sont plus proches que ce qu’ils s’imaginent parfois, y compris dans leurs trajectoires politiques et institutionnelles.
. We pay tribute to her long life of dedicated service to the United Kingdom, the Commonwealth, and the world at large.
The late Queen was only twenty-five when she came to the throne in 1952 and Winston Churchill was Prime Minister. She went on to reign for more than seventy years, the longest serving monarch in British history. She is succeeded by her eldest son, who has now become King Charles III.
Source huffingtonpost.frLes journaux du monde entier mettent la reine Elizabeth II en Une ce vendredi 9 septembre.
Le monde s’est associé ce jeudi 8 septembre au deuil des Britanniques après la mort d’Elizabeth II, « une reine de cœur » dont « la dignité » et « le sens du devoir inaltérable » ont suscité une pluie d’hommages unanimes.
