C’est
comme la marche de l’écrevisse : un pas en avant, deux pas en arrière,
écrit cet éditorialiste guinéen. Après le coup d’Etat au Mali et les
candidatures à un troisième mandat des président de Guinée et de Côte
d’Ivoire, il y a de quoi s’inquiéter.
À voir ce qui prévaut aujourd’hui au Mali, en Guinée et en Côte d’Ivoire, difficile de se laisser porter par toutes les prévisions optimistes dont on pare l’avenir du continent africain dans certaines publications.