De
la Vienne des années folles à l’exil californien, Walter Arlen a connu
un destin hors du commun. Né en 1920 dans une famille de la grande
bourgeoisie juive autrichienne, il a fui le nazisme pour les États-Unis.
Là, il a côtoyé les plus illustres exilés germanophones de son
temps : Thomas Mann, Arnold Schönberg, Lion Feuchtwanger… Il raconte
ses souvenirs.