Caramela ne te mets pas dans cet état nous allons devenir chef de l’État.
« Depuis 2007, j’éprouve un malaise qui ne diminue pas » dit Jean-Michel Ribes en parlant de notre gouvernance. Pour en finir avec cette nausée, il a décidé de la transformer en farce joyeuse : un opéra bouffe mis en musique par Reinhardt Wagner. Un éclat de rire de résistance « face à l’affaissement du langage, au dénigrement de l’esprit, à cette agitation immobile dont la médiocrité nous étouffe. » Les citoyens d’un pays imaginaire cherchent un nouveau leader, leur vieux président malade s’en allant. Soudain, ils aperçoivent un petit homme agité courant matin et soir. Il se nomme René. Énergique et courant droit, n’appréciant que le bon sens.Suite...