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08/01/2025

Le Parti socialiste face à ses responsabilités


En votant une nouvelle fois la censure en compagnie des deux partis extrêmes, les socialistes contribueraient à l’aggravation d’une crise qui pourrait finalement amener le RN au pouvoir et faire du PS la principale victime d’une histoire qui pourrait désormais s’écrire sans lui.

 https://www.telos-eu.com/fr/politique-francaise-et-internationale/le-parti-socialiste-face-a-ses-responsabilites.html

28/08/2024

 Emmanuel Macron, en rejetant l’option d’un gouvernement dirigé par Lucie Castets, a exclu définitivement de nommer un gouvernement comprenant des membres de LFI. Dans ces conditions, ce parti a annoncé sa décision de présenter au bureau de l’Assemblée une motion de destitution du président de la République, de déposer une motion de censure contre tout nouveau gouvernement qui ne serait pas dirigé par sa candidate et a appelé à des « marches pour le respect de la démocratie ». Ces décisions, prises sans avoir consulté ses partenaires du Nouveau Front Populaire, placent notamment le Parti socialiste dans une situation particulièrement difficile. Suite via Telos 

22/05/2024

Européennes : Raphaël Glucksmann atteint une nouvelle barre symbolique... Découvrez le sondage du Figaro du 21 mai


L’écart atteint à nouveau son plus bas niveau entre le candidat PS-Place Publique et sa concurrente macroniste Valérie Hayer, selon le «rolling» Ifop-Fiducial pour 
Le Figaro, LCI et Sud Radio publié ce mardi. Suite le Figaro

18/10/2022

Mr Hollande encore un effort!

Affligé et humilié par l’état de la gauche, François Hollande a réaffirmé le 10 octobre dans une interview à Nice Matin son hostilité à la NUPES et en particulier à LFI dont il a fustigé les positions et il a appelé à la reconstitution d’une force socialiste. À travers ses critiques, c’est Olivier Faure, le Premier secrétaire du PS, qu’il visait d’abord dans la perspective du prochain congrès. « Quand on a depuis cinq ans la responsabilité d’un parti et qu’on n’est même pas capable de se défendre, de présenter une candidature aux élections européennes, même pas capable d’avoir un programme crédible pour la présidentielle, on se tait et on laisse sa place », t-il déclaré, officialisant ainsi la lutte sans merci qui l’oppose au chef du parti.  
   Suite sur Telos par Gérard Grunberg 

09/05/2022

Législatives: À quoi sert un PS soumis?

 Une fois de plus la magie du suffrage universel, alimentée par le vote utile et la quête des sièges, aura fait son œuvre au Parti socialiste :  le vil plomb du populisme, du souverainisme et du soutien aux dictateurs aura été transformé en or de la fidélité aux idéaux de la gauche, en socialisation d’une nouvelle génération politique et en espoir de l’union enfin rebâtie. Lire la suite sur Telos. Gérard Grunberg et Elie Cohen

21/05/2021

1981-2021 40 ans: Mitterrand ou les débuts de l'état prédateur.

Entre 1950 et 1980, le niveau de vie des Français a triplé. En 30 ans, la France a donc connu pratiquement la même progression économique qu’entre la mort de Louis XIV et la Seconde Guerre mondiale. Une réussite impressionnante due en particulier aux réformes capitalistes modernes mises en place en Occident à partir des années 1950. Mais le 10 mai 1981 intervient la « rupture avec le capitalisme » voulue par les socialistes français, dirigée par François Mitterrand. Alors qu’en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis, Thatcher et Reagan lancent des réformes libérales, Mitterrand applique à la France, avec les communistes, le Programme commun concocté par le « sherpa » Jacques Attali, qui étatise l’économie entière avec des conséquences dramatiques pour le pays et pour les Français.  Suite via  IREF 

15/03/2021

Politique – Jean-François Kahn : « Qui fait le jeu de qui ? » - Le Point

C
et article a été envoyé au Monde parce qu'il concernait spécifiquement Le Monde. Ce journal n'a donc pas cru devoir le publier. Dommage. Que les lecteurs jugent.
Ma grand-mère me disait toujours - c'était sa façon d'inciter à affronter le réel : « Mon petit, il faut sortir ! »
Quand je lis les tribunes tranchantes, catégoriques, implacables, excommunicatrices souvent, que multiplient des intellectuels qui, se réclamant, apparemment, d'une gauche qui ne serait pas molle, dénoncent avec ardeur un « cours des choses » déplorable, dont eux seuls ne seraient jamais, fût-ce indirectement, responsables, je m'interroge moi aussi : est-ce qu'ils sortent ?

22/11/2020

Jean-Pierre Chevènement - Les mémoires d'un marginal au pouvoir - Herodote.net

Jean-Pierre Chevènement

À 8I ans, en publiant ses Mémoires (Qui veut risquer sa vie la sauvera, Robert Laffont, 22 euros), Jean-Pierre Chevènement semble avoir bouclé la boucle d’une vie d’engagement politique, du jeune socialiste au hussard républicain. Député, maire de Belfort, quatre fois ministre, candidat à la présidentielle, sénateur, il n’a pas fait que mettre les mains dans le cambouis de la politique, il a aussi publié des analyses sur son temps témoignant d’une solide culture historique et géopolitique.

Ses Mémoires constituent donc une synthèse (500 pages tout de même !) du double volet de son parcours singulier au sein de la gauche, dont il s’efforce de montrer la cohérence… comme tout autobiographe. Sa part de vérité est aussi une contribution à l’histoire de la gauche et du pays.

20/09/2020

Présidentielle 2022: Laurent Joffrin et engageonsnous.org

 Anti-Macron : Laurent Joffrin dresse dans son nouveau livre les grandes lignes de son projet pour la gauche. Dans son nouveau livre, que Le Figaro a pu consulter, l'ancien patron de Libération republie certaines de ses chroniques contre Emmanuel Macron et dresse un certain nombre de réformes qu'il juge nécessaires. Source Figaro avec Yves Threard
 

02/09/2020

L'OBS Lionel Jospin sort du silence en publiant "Un temps troublé".

tout sur Lionel JospinIl arrive à peine de l’île de Ré, où il a passé un bel été. Lionel Jospin nous reçoit longuement chez lui, au milieu des livres et des tableaux. Il n’a pas parlé depuis de longues années. Mais il vient d’écrire « Un temps troublé » (Seuil). Il est en face de nous pour raconter notre époque si singulière, le ressort de l’élection d’Emmanuel Macron, la désillusion qu’elle a engendrée. Il est là pour parler de sa famille politique, la gauche, qu’il n’abandonnera jamais, mais qui, elle, a parfois laissé tomber les siens.

16/12/2018

Christiane Taubira pointe la "très lourde" responsabilité de la gauche dans la crise des gilets j...

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Elle juge sévèrement son camp. Sans dédouaner le président Macron, l'ancienne garde des Sceaux Christiane Taubira pointe aussi la responsabilité de la gauche, dont elle estime que l'état est "désespéré et désespérant", dans la crise des "gilets jaunes", lors d'un entretien au Journal du dimanche publié dimanche 16 décembre. La responsabilité de la gauche "est lourde, très lourde, sur le passé, sur le présent. Elle peut l'être plus encore si la gauche ne comprend pas que c'est à elle qu'il revient d'offrir un débouché politique à ce mouvement", estime Christiane Taubira, qui fut garde des Sceaux de 2012 à 2016 pendant le quinquennat de François Hollande.    Suite...

20/12/2017

Macron: une mascarade pour les sans dents et les sans tête.

Comment Macron perpétue l'ancien monde

Source: Ivan Rioufol le 20 décembre 2017 12h30 | 10 Commentaires
C’est un fait : l’audace réformatrice est à rechercher du côté de Donald Trump. Le président américain vient de remporter une belle victoire législative, en faisant voter, mardi, sa grande réforme fiscale. Les taxes sur les bénéfices des entreprises passeront de 35 à 21%. Les foyers seront aussi concernés par d’autres baisses d’impôts.

15/12/2017

Parti socialiste: post-mortem d’une débâcle historique

Source: Philippe Marlière par blogs.mediapart.fr

Les deux défaites que vient de subir le Parti socialiste (PS) sont d’une ampleur et d’une nature inédites. Les dirigeant.e.s et militant.e.s pourront se rassurer en pensant aux revers électoraux dramatiques qui ont jalonné l’histoire du parti : l’échec cinglant de la candidature de Gaston Defferre à l’élection présidentielle de 1969 ou la déroute aux élections législatives de 1993. Mais cette fois-ci, la situation apparait plus compromise. Cette double défaite dans les urnes s’est déroulée dans un contexte de crise institutionnelle et politique dont le PS est la principale victime.

18/12/2016

La gauche est-elle au rendez-vous 2017? | Atlantico

Gagner la présidentielle pour éviter “l’affaissement républicain et le délitement social” : comment les bonnes (et les mauvaises…) intentions de la gauche affaiblissent la démocratie à force d’accusations à côté de la plaque

30/11/2016

La gauche en état de décomposition avancée


Bataille rangée autour d'un cercueil : quand la gauche se suicide à coups de primaire plutôt que de livrer le seul combat qui pourrait la sauver...   
Comme en témoigne la primaire de la gauche, le PS semble aujourd'hui incapable de trancher entre les différentes idéologies qui le scindent. N'aurait-il pas dû, pourtant, le faire lors de son dernier congrès à Reims ? Les principaux logiciels de la gauche ne sont-ils pas remis en question aujourd'hui ?     Suite...

15/11/2016

Hollande battu par Montebourg à la primaire PS, pas Valls, pour un sondage BVA


 

 Arnaud Montebourg l'emporterait sur François Hollande au second tour de la primaire de la gauche, mais l'ex-ministre serait battu en cas de duel avec Manuel Valls, selon une enquête BVA-Salesforce pour la Presse Régionale et Orange publiée mardi.
Selon ce sondage réalisé dans la perspective du scrutin programmé fin janvier, le chef de l'Etat recueillerait 40% des suffrages au premier tour, soit une baisse de trois points par rapport à septembre.

13/11/2016

Après Hollande, le Parti socialiste, un champ de ruines

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A quoi ressemblera le PS au lendemain des élections présidentielle et législatives de l'an prochain ? Des échéances qui s'annoncent particulièrement difficiles pour le parti au pouvoir depuis 2012. Au-delà des discours de remobilisation des uns et des autres, rares sont ceux qui rêvent encore d'une victoire. Or, les conséquences d'une défaite risquent d'être dramatiques pour le PS. Comme il le fait régulièrement depuis des mois, le Premier ministre Manuel Valls a une nouvelle fois tiré la sonnette d'alarme fin octobre. « La gauche peut sortir de l'histoire », a-t-il averti sur l'antenne de France Inter. Comprendre : si elle n'arrive pas à surmonter ses divisions, à se réinventer pour au moins sortir avec un résultat honorable l'année prochaine, la gauche pourrait être condamnée pour longtemps à végéter dans l'opposition. Au risque pour le Parti socialiste de ne jamais réussir à redevenir une force de gouvernement.
A priori, beaucoup d'indices plaident pour un tel scénario. D'abord les divisions. Elles n'ont cessé de s'exacerber au cours du quinquennat de François Hollande. Depuis l'été 2012 et l'absence de renégociation du traité européen, l'aile gauche du PS a une lecture de plus en plus critique de l'action du président sortant. La loi Macron, la loi travail ou encore le projet avorté de déchéance de nationalité sont passés par là. Au printemps, des élus socialistes sont descendus dans la rue et ont signé une motion de censure contre une majorité socialiste. Du jamais vu...
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Certes, comme l'a rappelé Jean-Christophe Cambadélis, son premier secrétaire, le PS n'a jamais été une famille unie. Les divergences de fond ont souvent opposé ses dirigeants depuis sa création en 1971, aboutissant parfois à des ruptures spectaculaires (départs de Jean-Pierre Chevènement en 1993 ou de Jean-Luc Mélenchon en 2008 ). Mais il avait toujours réussi à rebondir, comme après la déroute des législatives de 1993, à se rassembler avant les grandes échéances, à commencer par les présidentielles. Etre dans l'opposition a évidemment rendu cette tâche plus facile avant les scrutins de 2007 et de 2012. Mais en 2016, après quatre ans d'exercice du pouvoir, ce rassemblement n'est pas à l'ordre du jour. Il apparaît même utopique.
D'autant qu'au-delà des divergences idéologiques, historiques au PS, les rivalités et inimitiés ont elles aussi atteint un point haut. La rupture est consommée avec certains frondeurs, Arnaud Montebourg en tête. Celui-ci veut tourner la page François Hollande et joue sa campagne de la primaire socialiste sur le thème du « Tout sauf Hollande ». Cette ligne rend difficile un message de rassemblement pour l'après-primaire si le président en sortait vainqueur, tout comme elle rend difficile un ralliement de l'ensemble du PS à Arnaud Montebourg, en cas de victoire de ce dernier. L'ancien ministre de l'Economie l'a déjà dit : s'il perd la primaire, il rentrera chez lui et ne fera pas campagne pour Hollande.
Le PS est aujourd'hui un parti coupé en deux - le dernier Congrès de Poitiers a donné 30 % des voix aux frondeurs - et tout laisse à penser qu'il ne réussira pas à recoller les morceaux. A l'extérieur du parti, il n'est évidemment plus question d'une alliance avec le PCF et encore moins avec le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon. Avec lui, la rupture est actée depuis le lendemain du 6 mai 2012 et l'intéressé cherche même à supplanter le PS en tant que première force de gauche. Une alliance avec les écologistes d'EELV n'a plus aucun sens, non plus, compte tenu de la faiblesse du Parti vert. A droite du parti, Emmanuel Macron tente son aventure en créant son mouvement ex nihilo, estimant caduc le clivage idéologique gauche contre droite. Il ne croit plus aux anciens partis, aux lignes de fracture trop fortes. A gauche, le PS est non seulement moribond, mais il est surtout isolé et cerné.
Sa situation actuelle l'amènera sans doute à entamer un nouveau cycle à partir de 2017, et à fermer celui né à Epinay en 1971. « Le cycle d'Epinay sera sans doute clos après les prochaines élections, et le double risque que court le PS est d'une part de ne plus pouvoir faire d'alliance sur sa gauche et d'autre part de ne plus être assez puissant pour demeurer un parti de gouvernement », note le spécialiste de la gauche Gérard Grunberg.

Un PS à 60 députés ?

Mais les incertitudes sont encore trop nombreuses aujourd'hui pour écrire un quelconque scénario. Nombre de questions décisives pour l'avenir du parti restent sans réponse : quel candidat en 2017 ? Quel score à la présidentielle, sachant qu'une élimination du candidat PS au premier tour, et circonstance aggravante, à une quatrième ou cinquième place comme le prédisent certains sondages pour François Hollande, n'aura pas les mêmes conséquences que si le candidat socialiste se qualifie pour le second tour. Après les législatives, le PS sera-t-il, en cas de défaite, le premier parti d'opposition ? Ou laissera-t-il cette place au FN, qui est parti pour faire un retour en force à l'Assemblée nationale l'année prochaine (la dernière fois, c'était en 1986, à la faveur de la proportionnelle). Un PS à 60 députés, comme en 1993, n'aura pas le même avenir que le même parti à 120 ou 150 parlementaires...
Le problème du PS s'inscrit aussi dans une problématique plus large, celle de l'avenir de la social-démocratie en Europe. Dans de nombreux pays, comme en Angleterre ou en Espagne, elle est en crise quand elle n'est pas en ruines comme c'est le cas du Pasok en Grèce. Il y a, bien sûr, les raisons internes, mais aussi une crise plus profonde liée à l'émergence d'un populisme à droite comme à gauche. « Le PS est un avant-poste de la crise de la démocratie », résume Gilles Finchelstein, directeur de la Fondation Jean Jaurès.

Source: Gregoire Poussielgue / Journaliste, www.lesechos.fr

25/10/2016

Hollande à 4% d'opinions favorables! Popularité : à 4% de bonnes opinions, Hollande touche le fond


 Selon une enquête Ipsos pour le Cevipof et Le Monde, le chef de l'État traverse actuellement la pire période du quinquennat. Jamais un président de la Ve République n'avait connu une telle dégringolade.

Redeviendra-t-il bientôt «Monsieur 3%»? Alors que la parution de l'explosif livre-confessions Un président ne devrait pas dire ça... a complètement rebattu les cartes à gauche et carrément remis sa candidature en question,

22/10/2016

LE SUICIDE DE HOLLANDE ET LA MORT PROGRAMMEE DU PARTI SOCIALISTE (par l’Imprécateur) | minurne.org

Hollande, « ravi de la crèche », après s’être tiré une balle dans le pied.
Avec ses « confidences » à deux journalistes du Monde, Davet et Lhomme, François Hollande n’a pas fait que  montrer une fois de plus  sa « stupidité » (le journal espagnol El Confidencial)…
Il ne s’est pas seulement « suicidé politiquement » comme le dit de manière quasiment unanime la presse européenne : « Le président de la République a entamé la dernière œuvre de sa vie politique : son autodestruction méthodique… Un suicide politique en règle ! » ajoute Emmanuel Beretta dans Le Point du 13 octobre… Lire la suite sur Minurne.

29/09/2016

Déficits et baisses d'impôts, les français n'y croient plus; au contraire ça augmentera encore!


Le plaidoyer de Bercy sur les baisses d’impôts ne convainc pas les Français


Michel Sapin en a fait l'un de ses principaux arguments lors de la présentation mercredi du projet de budget 2017  : les récentes baisses d'impôts sur le revenu décidées par le gouvernement auraient compensées les hausses d'un début de quinquennat. Las, le plaidoyer du ministre de l'Economie et des Finances ne convainc pas l'opinion. Selon un sondage Odoxa pour « Les Echos » et de Radio Classique, huit Français sur dix ne croient pas en cette affirmation et pensent donc toujours que leur facture a augmenté depuis 2012 . Le ras le bol fiscal est toujours vivace. Plus embêtant pour le gouvernement, même parmi les sympathisants de gauche on reste sceptique (à 63 %) face à cet argument, si bien que l'effet électoral de la mesure risque d'être ténu. D'un point de vue économique, l'affirmation de Michel Sapin était contestable, se centrant sur le seul impôt sur le revenu. Un institut comme l'OFCE estimait au contraire que les ménages avaient subi 35 milliards de hausses de prélèvements obligatoires depuis le début du quinquennat, quand COE-Rexecode arrivait, lui, à un total de 58 milliards à fin 2015.