En votant une nouvelle fois la censure en compagnie des deux partis extrêmes, les socialistes contribueraient à l’aggravation d’une crise qui pourrait finalement amener le RN au pouvoir et faire du PS la principale victime d’une histoire qui pourrait désormais s’écrire sans lui.
Sur les sujets de société et de civilisation en France et dans le monde; et tout ce qui me passe dans la tête...
08/01/2025
Le Parti socialiste face à ses responsabilités
En votant une nouvelle fois la censure en compagnie des deux partis extrêmes, les socialistes contribueraient à l’aggravation d’une crise qui pourrait finalement amener le RN au pouvoir et faire du PS la principale victime d’une histoire qui pourrait désormais s’écrire sans lui.
28/08/2024
22/05/2024
Européennes : Raphaël Glucksmann atteint une nouvelle barre symbolique... Découvrez le sondage du Figaro du 21 mai
L’écart atteint à nouveau son plus bas niveau entre le candidat PS-Place Publique et sa concurrente macroniste Valérie Hayer, selon le «rolling» Ifop-Fiducial pour Le Figaro, LCI et Sud Radio publié ce mardi. Suite le Figaro
18/10/2022
Mr Hollande encore un effort!
09/05/2022
Législatives: À quoi sert un PS soumis?
Une fois de plus la magie du suffrage universel, alimentée par le vote
utile et la quête des sièges, aura fait son œuvre au Parti socialiste :
le vil plomb du populisme, du souverainisme et du soutien aux
dictateurs aura été transformé en or de la fidélité aux idéaux de la
gauche, en socialisation d’une nouvelle génération politique et en
espoir de l’union enfin rebâtie. Lire la suite sur Telos. Gérard Grunberg et Elie Cohen
21/05/2021
1981-2021 40 ans: Mitterrand ou les débuts de l'état prédateur.
15/03/2021
Politique – Jean-François Kahn : « Qui fait le jeu de qui ? » - Le Point
Ma grand-mère me disait toujours - c'était sa façon d'inciter à affronter le réel : « Mon petit, il faut sortir ! »
Quand je lis les tribunes tranchantes, catégoriques, implacables, excommunicatrices souvent, que multiplient des intellectuels qui, se réclamant, apparemment, d'une gauche qui ne serait pas molle, dénoncent avec ardeur un « cours des choses » déplorable, dont eux seuls ne seraient jamais, fût-ce indirectement, responsables, je m'interroge moi aussi : est-ce qu'ils sortent ?
22/11/2020
Jean-Pierre Chevènement - Les mémoires d'un marginal au pouvoir - Herodote.net
À 8I ans, en publiant ses Mémoires (Qui veut risquer sa vie la sauvera, Robert Laffont, 22 euros), Jean-Pierre Chevènement semble avoir bouclé la boucle d’une vie d’engagement politique, du jeune socialiste au hussard républicain. Député, maire de Belfort, quatre fois ministre, candidat à la présidentielle, sénateur, il n’a pas fait que mettre les mains dans le cambouis de la politique, il a aussi publié des analyses sur son temps témoignant d’une solide culture historique et géopolitique.
Ses Mémoires constituent donc une synthèse (500 pages tout de même !) du double volet de son parcours singulier au sein de la gauche, dont il s’efforce de montrer la cohérence… comme tout autobiographe. Sa part de vérité est aussi une contribution à l’histoire de la gauche et du pays.
20/09/2020
Présidentielle 2022: Laurent Joffrin et engageonsnous.org
02/09/2020
L'OBS Lionel Jospin sort du silence en publiant "Un temps troublé".
16/12/2018
Christiane Taubira pointe la "très lourde" responsabilité de la gauche dans la crise des gilets j...
![c0110b5e90b48cc4534217206112d955.png](https://justpaste.it/img/c0110b5e90b48cc4534217206112d955.png)
Elle juge sévèrement son camp. Sans dédouaner le président Macron, l'ancienne garde des Sceaux Christiane Taubira pointe aussi la responsabilité de la gauche, dont elle estime que l'état est "désespéré et désespérant", dans la crise des "gilets jaunes", lors d'un entretien au Journal du dimanche publié dimanche 16 décembre. La responsabilité de la gauche "est lourde, très lourde, sur le passé, sur le présent. Elle peut l'être plus encore si la gauche ne comprend pas que c'est à elle qu'il revient d'offrir un débouché politique à ce mouvement", estime Christiane Taubira, qui fut garde des Sceaux de 2012 à 2016 pendant le quinquennat de François Hollande. Suite...
20/12/2017
Macron: une mascarade pour les sans dents et les sans tête.
Comment Macron perpétue l'ancien monde
15/12/2017
Parti socialiste: post-mortem d’une débâcle historique
Les deux défaites que vient de subir le Parti socialiste (PS) sont d’une ampleur et d’une nature inédites. Les dirigeant.e.s et militant.e.s pourront se rassurer en pensant aux revers électoraux dramatiques qui ont jalonné l’histoire du parti : l’échec cinglant de la candidature de Gaston Defferre à l’élection présidentielle de 1969 ou la déroute aux élections législatives de 1993. Mais cette fois-ci, la situation apparait plus compromise. Cette double défaite dans les urnes s’est déroulée dans un contexte de crise institutionnelle et politique dont le PS est la principale victime.
30/11/2016
La gauche en état de décomposition avancée
15/11/2016
Hollande battu par Montebourg à la primaire PS, pas Valls, pour un sondage BVA
Arnaud Montebourg l'emporterait sur François Hollande au second tour de la primaire de la gauche, mais l'ex-ministre serait battu en cas de duel avec Manuel Valls, selon une enquête BVA-Salesforce pour la Presse Régionale et Orange publiée mardi.
Selon ce sondage réalisé dans la perspective du scrutin programmé fin janvier, le chef de l'Etat recueillerait 40% des suffrages au premier tour, soit une baisse de trois points par rapport à septembre.
13/11/2016
Après Hollande, le Parti socialiste, un champ de ruines
![w704.jpg](https://s02.justpaste.it/files/justpaste/d359/a13465028/85e6d8e158318885e8f67c2640a8e56f.jpg)
A priori, beaucoup d'indices plaident pour un tel scénario. D'abord les divisions. Elles n'ont cessé de s'exacerber au cours du quinquennat de François Hollande. Depuis l'été 2012 et l'absence de renégociation du traité européen, l'aile gauche du PS a une lecture de plus en plus critique de l'action du président sortant. La loi Macron, la loi travail ou encore le projet avorté de déchéance de nationalité sont passés par là. Au printemps, des élus socialistes sont descendus dans la rue et ont signé une motion de censure contre une majorité socialiste. Du jamais vu...
D'autant qu'au-delà des divergences idéologiques, historiques au PS, les rivalités et inimitiés ont elles aussi atteint un point haut. La rupture est consommée avec certains frondeurs, Arnaud Montebourg en tête. Celui-ci veut tourner la page François Hollande et joue sa campagne de la primaire socialiste sur le thème du « Tout sauf Hollande ». Cette ligne rend difficile un message de rassemblement pour l'après-primaire si le président en sortait vainqueur, tout comme elle rend difficile un ralliement de l'ensemble du PS à Arnaud Montebourg, en cas de victoire de ce dernier. L'ancien ministre de l'Economie l'a déjà dit : s'il perd la primaire, il rentrera chez lui et ne fera pas campagne pour Hollande.
Le PS est aujourd'hui un parti coupé en deux - le dernier Congrès de Poitiers a donné 30 % des voix aux frondeurs - et tout laisse à penser qu'il ne réussira pas à recoller les morceaux. A l'extérieur du parti, il n'est évidemment plus question d'une alliance avec le PCF et encore moins avec le Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon. Avec lui, la rupture est actée depuis le lendemain du 6 mai 2012 et l'intéressé cherche même à supplanter le PS en tant que première force de gauche. Une alliance avec les écologistes d'EELV n'a plus aucun sens, non plus, compte tenu de la faiblesse du Parti vert. A droite du parti, Emmanuel Macron tente son aventure en créant son mouvement ex nihilo, estimant caduc le clivage idéologique gauche contre droite. Il ne croit plus aux anciens partis, aux lignes de fracture trop fortes. A gauche, le PS est non seulement moribond, mais il est surtout isolé et cerné.
Sa situation actuelle l'amènera sans doute à entamer un nouveau cycle à partir de 2017, et à fermer celui né à Epinay en 1971. « Le cycle d'Epinay sera sans doute clos après les prochaines élections, et le double risque que court le PS est d'une part de ne plus pouvoir faire d'alliance sur sa gauche et d'autre part de ne plus être assez puissant pour demeurer un parti de gouvernement », note le spécialiste de la gauche Gérard Grunberg.
Un PS à 60 députés ?
Mais les incertitudes sont encore trop nombreuses aujourd'hui pour écrire un quelconque scénario. Nombre de questions décisives pour l'avenir du parti restent sans réponse : quel candidat en 2017 ? Quel score à la présidentielle, sachant qu'une élimination du candidat PS au premier tour, et circonstance aggravante, à une quatrième ou cinquième place comme le prédisent certains sondages pour François Hollande, n'aura pas les mêmes conséquences que si le candidat socialiste se qualifie pour le second tour. Après les législatives, le PS sera-t-il, en cas de défaite, le premier parti d'opposition ? Ou laissera-t-il cette place au FN, qui est parti pour faire un retour en force à l'Assemblée nationale l'année prochaine (la dernière fois, c'était en 1986, à la faveur de la proportionnelle). Un PS à 60 députés, comme en 1993, n'aura pas le même avenir que le même parti à 120 ou 150 parlementaires...Le problème du PS s'inscrit aussi dans une problématique plus large, celle de l'avenir de la social-démocratie en Europe. Dans de nombreux pays, comme en Angleterre ou en Espagne, elle est en crise quand elle n'est pas en ruines comme c'est le cas du Pasok en Grèce. Il y a, bien sûr, les raisons internes, mais aussi une crise plus profonde liée à l'émergence d'un populisme à droite comme à gauche. « Le PS est un avant-poste de la crise de la démocratie », résume Gilles Finchelstein, directeur de la Fondation Jean Jaurès.
Source: Gregoire Poussielgue / Journaliste, www.lesechos.fr
25/10/2016
Hollande à 4% d'opinions favorables! Popularité : à 4% de bonnes opinions, Hollande touche le fond
Selon une enquête Ipsos pour le Cevipof et Le Monde, le chef de l'État traverse actuellement la pire période du quinquennat. Jamais un président de la Ve République n'avait connu une telle dégringolade.
Redeviendra-t-il bientôt «Monsieur 3%»? Alors que la parution de l'explosif livre-confessions Un président ne devrait pas dire ça... a complètement rebattu les cartes à gauche et carrément remis sa candidature en question,