Sur les sujets de société et de civilisation en France et dans le monde; et tout ce qui me passe dans la tête...
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4/14/25
Le Monde – « Si les Etats-Unis s’entendent avec la Russie sur un allègement de la protection militaire en Europe, il faudra leur trouver un substitut en urgence »
2/21/25
How to Finance European Defence? Andris Šuvajevs 21st February 2025
How to finance European defence? This is a million – or perhaps a billion – dollar question. If it remains unanswered for much longer, it risks toppling governments, deepening social tensions, and giving further momentum to the far-right. In Europe, the fault lines are unmistakable. Member states further to the west are reluctant to increase military budgets, given that their public finances are already under strain and sluggish economic growth in recent years has further narrowed their fiscal room for manoeuvre. In Western Europe, the war in Ukraine is, quite literally, a more distant reality, making it far more difficult for politicians to generate electoral support for higher defence spending.The Transatlantic Alliance Is Dying—What Comes Next for Europe?
The last great constant of the postwar order is breaking before our eyes. What set American hegemony apart from the old colonial empires and the former Soviet bloc—or at least what once distinguished it—was the United States’ willingness to invest in a system of voluntary alignment. States were, as a rule, not coerced into submitting to the US-led order. They retained the freedom to place themselves under the protection of American power. Washington was prepared to involve Europeans as (junior) partners in maintaining a global order dominated by Western interests. While the relationship was not one of equals, the United States still took allied interests into account. This was not a system of subjugation but of integration—one in which every state acknowledged US leadership but retained the capacity to articulate its own concerns 2/12/24
Le Monde – Donald Trump suscite l’effroi parmi les alliés en mettant en cause le principe de solidarité au sein de l’OTAN
lemonde.fr
Quelques
phrases décousues mais glaçantes de Donald Trump ont rappelé, samedi
10 février, ce que signifierait un éventuel second mandat de l’ancien
président pour l’équilibre des forces dans le monde. En meeting à Conway
(Caroline du Sud), prochaine étape des primaires républicaines, il a suggéré qu’il laisserait la Russie attaquer tout membre de l’OTAN
qui ne contribuerait pas suffisamment au budget de l’Alliance. Il a
prétendu restituer une discussion avec un chef d’Etat important, qui lui
aurait demandé si les Etats-Unis protégeraient son pays en cas
d’offensive de Moscou. « J’ai dit : “Vous n’avez pas payé ? Vous êtes des mauvais payeurs ? (…) Non, je ne vous protégerais pas. En fait, j’encouragerais [les Russes] à faire ce que bon leur semble” . »
4/14/23
4/8/23
Le problème russe - Telos
Dans sa réponse brillante et détaillée à la critique d’Alain Bergounioux et de Gérard Grunberg sur sa vision de la guerre d’Ukraine, Hubert Védrine soutient qu’une politique d’inclusion de la Russie « dans un ensemble de sécurité plus vaste », parallèlement à l’élargissement de l’OTAN, aurait évité la tragédie en cours. Cette politique, note-t-il, a failli être mise en œuvre : c’était celle du président George Bush Sr (1989-1993), et elle avait le soutien d’autorités diplomatiques prestigieuses comme Henry Kissinger et Zbigniew Brzezinski, ainsi que celui de la France et de l’Allemagne, Suite via Telos
9/23/22
Anders Fogh Rasmussen ex-secrétaire général de l'Otan : « Emmanuel Macron a nui à l’Ukraine et l’a affaiblie »
Anders Fogh Rasmussen,
ancien Premier ministre libéral danois (2001-2009) et ex-secrétaire
général de l'Otan (2009-2014), est un homme à poigne, aux positions
tranchées, très impliqué dans le conflit ukrainien. Il est l'un des
alliés les plus fidèles des États-Unis. Jacques Chirac
le considérait comme « l'homme des Américains », apposant son veto
en 1995 à la première candidature du Danois à la tête de l'Otan. Aujourd'hui
âgé de 69 ans, Rasmussen a créé en 2017 la fondation Alliance des
démocraties, qu'il préside, estimant que « la démocratie est fragile et
ne peut être tenue pour acquise nulle part dans le monde ». Il livre au Point sa vision de la guerre en Ukraine et dit son désir de voir les dirigeants occidentaux se montrer plus fermes vis-à-vis de Vladimir Poutine. Entretien.
5/28/17
Le néophyte Macron fait un sans-faute sur la scène internationale
Image: Emanuel Macron lors de sa conférence de presse à Taormine (Italie) le 27 mai. JEAN CLAUDE COUTAUSSE / FRENCH-POLITICS POUR LE MONDE
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LE MONDE
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Par Bastien Bonnefous (envoyé spécial à Taormine, Italie) et
Marc Semo (envoyé spécial à Taormine, Italie)
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