Farouche défenseur du libéralisme en matière
économique et sociétal, l‘hebdomadaire britannique estime que, au-delà
de la surprise retentissante qu‘elle a constituée, l’élection de ce
jeune ancien banquier qui n’était soutenu par aucun parti traditionnel
“a donné espoir à ceux qui pensent que la vieille division droite-gauche
est moins importante que celle entre l‘ouverture et la fermeture” au
monde.
“M. Macron a fait campagne pour une
France ouverte aux gens, aux idées et aux biens étrangers, et pour le
changement social en interne”, écrit-il, ajoutant : “En six mois, il a
fait adopter avec son parti une série de réformes sensées, dont une loi
anti-corruption et une réforme de la réglementation rigide du travail en
France”.
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Et ici l'article de Sophie Pedder datant du 30 septembre 2017