Qu'est-il arrivé à Lula ? - Matias Spektor (Affaires étrangères)

Peu de dirigeants pourraient prétendre, dès leur entrée en fonction, avoir suscité des soupirs de soulagement tant chez le président chinois Xi Jinping que chez le président américain Joe Biden. Pourtant, en janvier 2023, c’est exactement ce qu’a fait Luiz Inácio Lula da Silva. Sa victoire serrée contre le président brésilien Jair Bolsonaro, extrémiste de droite et admirateur de Donald Trump, a suscité un optimisme au-delà des frontières. Les dirigeants démocrates du monde entier ont vu dans la victoire de Lula, qui l'a ramené au pouvoir pour un troisième mandat après 12 ans d'absence et un passage en prison pour corruption, le héraut d'une vague antiautoritaire. Les autocrates du monde entier l’appréciaient comme un homme d’État chevronné, réputé pour tenir tête à l’Occident. Et les pays en développement de tous bords l’ont reconnu comme quelqu’un qui sait mieux que quiconque comment exiger des concessions du Nord. « Le Brésil est de retour », titraient les gros titres tandis que Lula accaparait le devant de la scène. Read more on Matias Spectar's blog

La forêt amazonienne au point de bascule

Source Washington Post abonnés 

 

The Amazon forest is reaching a tipping point and starting to collapse - Washington Post
In April, the Amazon's Acre River was full, but just five months later, it was low enough that residents needed water trucked in. The Amazon, undone: As the Amazon rain forest goes dry, a desperate wait for water.

Emploi Au Brésil, Ford ferme ses usines et toute une ville s’éteint

À Camaçari, dans l’État de Bahia, le constructeur automobile, historique dans le pays, a mis la clé sous la porte du jour au lendemain. La disparition des emplois directs et indirects touche des dizaines de milliers de familles. Reportage de la revue Piauí.

Sur les chapeaux de roues. Ce lundi 11 janvier avait débuté comme tous les lundis chez Luzinete Bonfim, à Camaçari, dans l’État brésilien de Bahia. À 5 heures du matin, la sonnette avait retenti, annonçant l’arrivée d’une petite fille de 3 ans. À 7 heures, un autre bébé.

À la une de l’hebdo. Amérique latine, pourquoi ça craque

 Courrier international explique ses choix éditoriaux, les hésitations et les débats qu’ils suscitent parfois dans la rédaction. C’est l’Amérique latine, où la colère gronde de l’Équateur à la Colombie en passant par la Bolivie, qui s’est imposée à la une du numéro en kiosque ce jeudi 28 novembre.Il a suffi d’une image, celle de militaires déployés à Santiago dès le début des manifestations contre la hausse des prix du métro, le 18 octobre, pour que nous mesurions à quel point la situation au Chili avait atteint un stade critique. “Nous sommes en 2019, et j’écris pendant un couvre-feu. Un mot d’une autre époque, d’une période que le Chili croyait avoir dépassée pour toujours. La dernière fois que les militaires ont patrouillé dans Santiago pendant un couvre-feu, c’était en 1987 [Pinochet était encore au pouvoir]”, s’était ému d’emblée le journaliste Daniel Matamala sur le site de CNN Chile.      Suite...
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Il n’y a pas de Brics qui tiennent… | Telos

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