Selon Benoît Piedallu, membre de la Quadrature du net, la suspension du compte
Twitter du président des États-Unis est un exemple de plus de
"l'emprise" qu'ont les réseaux géants sur la puissance politique.
La suspension du compte Twitter de Donald Trump "pose tout le problème de la puissance de ces réseaux sociaux géants", estime samedi 9 janvier sur franceinfo un des membres de la Quadrature du net, Benoît Piedallu. S'il estime "normal" de fermer le compte d'un président qui poste des messages "illégaux d'appel à la haine" et de "désinformation", il se demande pourquoi c'est "la décision de patrons d'entreprises privées".