le Blog de Pierre Ratcliffe

Sur les sujets de société et de civilisation en France et dans le monde; et tout ce qui me passe dans la tête...

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3/16/25

La Chine devant le spectre de la déflation


Les Chinois ont vu leur indice des prix à la consommation baisser de 0,7 % en février, confirmant que le pays reste englué dans la déflation. Le phénomène se traduit au quotidien par de nouveaux comportements chez les consommateurs ...Suite.
par pratclif at Sunday, March 16, 2025 No comments:
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rubriques: china, Chine, inflation

12/8/22

Alimentation : à qui profite l’inflation ?

Selon un rapport de l’Inspection générale des finances, la première cause de l’inflation alimentaire est l’augmentation du coût des intrants, principalement des engrais. Le revenu des agriculteurs semble avoir également augmenté, quand la profitabilité de l’industrie agro-alimentaire a, elle, diminué.

Tout le monde s’en est aperçu en faisant ses courses : la facture de gaz et d’électricité n’est pas seule à mordre sur le budget. Certes, les 6 % d’inflation enregistrés cette année s’expliquent en premier lieu par la hausse des prix de l’énergie, mais aussi par les produits alimentaires. Ces derniers ont en effet enregistré une hausse de 10 % entre septembre 2021 et 2022, si bien que l’alimentation pèse à elle seule un tiers de l’inflation totale.

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par pratclif at Thursday, December 08, 2022 No comments:
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rubriques: agriculture, agriculture bio, inflation, pouvoir d'achat

11/13/22

Faut-il redouter «une inflation à deux chiffres», comme le pressent Michel-Édouard Leclerc ?

lefigaro.fr par Jean-Pierre Robin 
 Le patron des magasins E.Leclerc met en garde contre l'inflation des produits alimentaires, quitte à la généraliser à l'ensemble des biens et services. À raison ?

Vedette des plateaux de télévision où il est reçu comme un véritable ministre de la Consommation, Michel-Édouard Leclerc aime jouer les lanceurs d'alerte. «L'inflation n'est pas que passagère. L'inflation qui se prépare est une inflation à deux chiffres», a lancé, le 8 novembre, le président du «comité stratégique des centres E. Leclerc» sur la chaîne d'information BFMTV, qui l'a reçu en grande pompe. Les prix à la consommation pourraient-ils vraiment grimper de 10% ou plus en 2023 ?

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par pratclif at Sunday, November 13, 2022 No comments:
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rubriques: inflation, pouvoir d'achat

10/11/22

Guillaume Tabard: «La France qui bloque contre la France qui bosse»

lefigaro.fr 
CONTRE-POINT - Le pari de la gauche est simple: qu’un conflit long et paralysant provoque une exaspération des usagers et que celle-ci alimente un mécontentement général.

Clémentine Autain l’avait dit sans détour à la veille des législatives: faute de majorité à l’Assemblée, la Nupes chercherait à obtenir dans la rue les victoires qu’elle n’aurait pas obtenues dans les urnes. Jean-Luc Mélenchon a beau vibrer au souvenir du peuple parisien ramenant de force Louis XVI, sa femme et son fils à Paris - plantant au passage sur des piques la tête de deux gardes du roi -, il n’est pas sûr que sa «marche contre la vie chère et l’inaction climatique», fasse vaciller le pouvoir macronien.

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par pratclif at Tuesday, October 11, 2022 No comments:
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rubriques: crises, grèves, inflation

10/10/22

Inflation en zone euro, énergie, hausses des taux ... pénuries, guerre en Europe... c'est la récession.

Inflation en zone euro, énergie, hausses de taux souverains américains, marchés boursiers : Jean-Pierre Petit, président des Cahiers verts de l'Economie, était l'invité de l'émission Ecorama du 3 octobre 2022, présentée par David Jacquot sur Boursorama.com
par pratclif at Monday, October 10, 2022 No comments:
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rubriques: inflation, récession

10/8/22

Patrick Artus – L'affreux dilemme de la BCE


CHRONIQUE lepoint.fr . Lutter contre l'inflation ou soutenir la croissance, l'institution monétaire européenne se retrouve face à un inextricable casse-tête.

L'inflation de la zone euro dépassera très probablement 10 % au début de 2023, avec la nouvelle vague de hausse des prix de l'énergie. Une hausse qui ne saura être totalement complétée par les aides publiques. Et comme un effet de dominos, plus l'inflation sera élevée, plus les revendications syndicales portant sur une hausse des salaires seront fortes. Résultat : ces dernières pourraient approcher les 6 %. De plus, la zone euro subit la complète disparition de ses gains de productivité, avec en particulier un nouveau recul de la durée du travail par tête, ce qui implique que toutes les hausses de salaire passent en inflation. L'inflation sous-jacente pourrait donc dépasser 5 % dans la zone euro en 2023.

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par pratclif at Saturday, October 08, 2022 No comments:
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rubriques: BCE, inflation

7/31/22

Regardez ""Inflation et taux d'intérêts dans le nouveau contexte mondial" - Professeur Philippe Dessertine" sur YouTube

L'inflation que j'ai connue dans les années 1970-1980 - à 2 chiffres - est de retour. Le contraire, c'est à dire la non inflation, était un paradoxe vu l'afflux de liquidités monétaires dans la suite de la Grande Crise Financière de 2007-2009, et aujourd'hui avec les énormes liquidités de la crise COVID.... 
Le PIB mondial est de 90 mille milliards de $ (la France 2.92, l'Allemagne 4.32)  mais le crédit, la dette,  est de 300 miille milliards, un rapport de 3.33 à 1.  Pourquoi l'inflation n'a pas eu lieu jusque maintenant vu ce déséquilibre entre la masse monétaire et la production réelle des économies? Cette vidéo de l'Institut de la Haute Finance dirigée par Philippe Dessertine l'explique. C'est toute la géopolitique, toute la géostratégie et toute la gé-économie mondiales qui sont en cause aujourd'hui comme dans l'histoire, une suite d'erreurs .... Voir la vidéo. 
par pratclif at Sunday, July 31, 2022 No comments:
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rubriques: inflation, parités de pouvoir d'achat, PIB, pouvoir d'achat

6/28/22

Salaire inflation: les routiers en grève bloquent plusieurs zones industrielles

latribune.fr 

A l'appel des organisations syndicales (CGT, CFDT, FO, CFTC et CFE-CGC), les professionnels du transport routier, qui comprend les routiers mais aussi les chauffeurs de car, les ambulanciers ou les transporteurs de fond, sont appelés à faire grève ce lundi. Ils réclament des revalorisations salariales. De barrages filtrants sont en cours dans plusieurs zones industrielles du pays.
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par pratclif at Tuesday, June 28, 2022 No comments:
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rubriques: inflation, pouvoir d'achat, salaires

6/27/22

Hausse des prix: comment le gouvernement va faire pour traiter le problème du pouvoir d'achat?

L’inflation est une situation de hausse généralisée et durable des prix des biens et des services. Cette situation correspond à une baisse du pouvoir d’achat de la monnaie, cad. qu'avec la même somme d’argent, on peut acheter moins de choses qu’auparavant.
 
Taux d'inflation en France et en Europe 2022

 

 

En France, l’inflation est mesurée mensuellement par l’INSEE à travers l’Indice des Prix à la Consommation (IPC) et l’Indice des Prix à la Consommation Harmonisé (IPCH). Ce dernier indice, ainsi que ceux produits par les différents organismes statistiques des pays membres de l’Union européenne, est utilisé par Eurostat (l’organisme européen en charge de la production de statistiques européennes harmonisées) pour calculer l’inflation en zone euro et dans l’Union européenne.

L’IPC et l’IPCH sont des indicateurs de variation mensuelle d’un panier de différents produits et services représentatifs de la consommation finale des ménages.

 Quelles sont les principales composantes et variations de l’IPC ?

Pour calculer l’indice des prix à la consommation, l’INSEE observe la variation du prix de dizaines de milliers de biens et services. Le détail précis des prix étudiés n’est pas rendu public car si c’était le cas il deviendrait possible pour des producteurs et des commerçants de modifier uniquement les prix observés par l’INSEE, ce qui fausserait les statistiques.

Les biens et services sont réunis en grandes catégories auxquelles il est attribué une pondération, mise à jour annuellement, en fonction de leur poids dans la consommation moyenne des Français. Par exemple, en 2021, l’alimentation pèse 15,8 %, le logement 15,3 % (ce poids prend en compte les loyers et des charges, comme l’eau, l’électricité, etc.), la restauration 6 % et l’habillement 3,6 %.

L’IPC ne prend pas en compte l’évolution des prix de l’immobilier à l’achat. En effet, un achat immobilier est considéré comme un investissement et non comme une consommation. Pour calculer la pondération adossée aux loyers, il faut tenir compte du fait qu’environ 60 % des Français sont propriétaires et donc ne paient pas de loyer. La pondération des dépenses de loyers (généralement autour de 6 %) est une moyenne qui cache de grandes disparités entre les propriétaires et les locataires.

Entre 2000 et 2021, la hausse de l’IPC a été en moyenne de 1,4 % par an. Cette moyenne masque cependant des variations très différentes selon le type de produits. Par exemple, le prix du gaz a augmenté en moyenne de 4 % par an en moyenne au cours de la même période, le fioul domestique de 2,7 % et le tabac de 6,4 %. À l’inverse, les prix moyens de la santé ont baissé de 0,2 % par an, des loisirs de 0,32 % par an et des communications de 1,68 % par an, notamment du fait des baisses de prix dans l’informatique.

Les variations de prix tiennent compte de l’évolution de la qualité. Par exemple, si le prix d’un médicament ou d’une télévision reste identique mais que sa qualité a augmenté, l’INSEE considérera que son prix a baissé.

Il est possible, sur le site de l’INSEE, de calculer son inflation « personnelle » en fonction de ses propres habitudes de consommation.

L’inflation a des causes multiples

Il existe principalement quatre facteurs à l’origine de l’inflation :

L’inflation par les coûts

Lorsque les prix des matières premières s’accroissent, cela pèse sur les coûts de production des entreprises. Il en va de même si en raison de la faiblesse du chômage, ces dernières doivent augmenter les salaires pour pouvoir attirer de nouveaux employés.

En réaction, et pour conserver leurs marges bénéficiaires, les entreprises sont incitées à augmenter leurs prix, ce qui provoque un premier saut inflationniste. Toutefois, si les salaires sont indexés sur l’inflation, la hausse des prix est répercutée automatiquement sur le niveau des salaires, qui s’accroissent à leur tour. Il s’en suit une nouvelle hausse des prix et un cercle vicieux inflationniste se met en place.

C’est ce processus qui était à l’œuvre dans les économies occidentales au milieu des années 1970 après le premier choc pétrolier et qui a conduit à l’apparition de taux d’inflation annuelle élevés, supérieurs à 10 %.

L’inflation par la demande

Lorsque la demande de produits ou de services s’accroît mais que l’offre de produits et services n’arrive pas à s’adapter à ce surcroît de demande, les prix sont poussés à la hausse.

Les entreprises mettent en œuvre des programmes d’investissement pour accroître leur production et embauchent de nouveaux salariés, ce qui stimule davantage l’activité économique et la demande globale des ménages. Tant que les quantités produites ne parviennent pas à satisfaire la demande globale, le processus de hausse des prix se poursuit. Cette situation est typique d’une économie qui sort d’une phase prolongée de faible croissance ou même d’une récession.

Dans un contexte de sortie de conjoncture morose ou déprimée, les entreprises ne réagissent pas immédiatement à une hausse de la demande pour leurs produits car elles cherchent à écouler leurs stocks et préfèrent avoir la confirmation du caractère durable de la reprise avant d’investir.

L’inflation importée

Lorsque le taux de change d’une monnaie se déprécie par rapport au dollar et/ou aux autres principales devises de facturation du commerce mondial (essentiellement la livre sterling, le yen et l’euro), le coût des produits importés augmente.

Ce renchérissement des importations se répercute dans tous les secteurs de l’économie et touche les ménages autant que les entreprises. Ce phénomène peut aussi avoir pour origine une forte hausse des cours des produits énergétiques et agricoles sur les marchés mondiaux.

L’inflation par excès de création monétaire

Certains économistes qualifiés de « monétaristes » affirment que l’inflation « est toujours et partout un phénomène monétaire » (pour reprendre l’expression de leur chef de file, Milton Friedman). Ils considèrent en effet que l’inflation apparaît parce que le stock de monnaie circulant dans l’économie est trop important par rapport à la quantité de biens et services offerts.

C’est donc un excès de création monétaire par les banques commerciales ou par le financement du déficit public par la banque centrale (ce que l’on dénomme souvent par l’expression « faire fonctionner la planche à billets ») qui est à l’origine de l’inflation. Dans ce contexte, celle-ci est alimentée par un excès de demande et par la dépréciation du taux de change.

La stagflation, une situation économique a priori aberrante

La stagflation, contraction des mots « stagnation » et « inflation », désigne une situation combinant à la fois une faible croissance économique et une inflation élevée.

La théorie économique a longtemps considéré que cette situation ne pouvait pas se produire en raison de la relation qu’elle supposait inverse entre croissance et inflation : en phase de ralentissement conjoncturel, la politique économique visait à stimuler l’activité via le déficit budgétaire alors que la politique monétaire assouplissait les conditions du crédit. La croissance redémarrait en même temps que les prix progressaient. À l’inverse, si l’inflation était jugée trop forte, la politique économique devenait restrictive et la politique monétaire restreignait les conditions du crédit. L’activité ralentissait alors et la hausse des prix était contenue.

L’expression de « stagflation » a été créée dans les années 1970 pour caractériser une situation économique inédite, lorsque les prix du pétrole et des autres matières premières montant en flèche, ont entraîné à la fois une accélération de l’inflation et un fort ralentissement de la croissance dans les pays industrialisés.

Ce n’est qu’à partir du milieu des années 1980 que la stagflation a pris fin avec la mise en place de politiques de désindexation des salaires qui ont permis de faire reculer les taux d’inflation dans les pays occidentaux.

Une inflation modérée est bonne pour l’économie

Une hausse régulière mais modérée du niveau général des prix est l’objectif principal des politiques monétaires conduites par les grandes banques centrales. À ce titre, une progression de l’inflation de l’ordre de 2 % par an est considérée par la Banque centrale européenne (BCE) comme une cible optimale.

À un niveau modéré d’inflation sont, en effet, associés plusieurs avantages :

  • Cela permet aux entreprises d’ancrer leurs anticipations de hausses des prix à moyen et long terme. Le caractère prévisible de ces dernières est favorable à la prise de décision d’investir, car il réduit l’incertitude sur les revenus futurs engendrés par l’investissement.

  • Cela incite par ailleurs les ménages à placer leurs excédents de liquidités plutôt que de les thésauriser ou de les conserver sur leurs comptes bancaires. À défaut, l’érosion monétaire réduirait le pouvoir d’achat de leur épargne. Une inflation modérée contribue donc à assurer l’équilibre entre le niveau d’épargne et le niveau de l’investissement sans lequel les taux d’intérêt s’orienteraient à la hausse, limitant ainsi les projets d’investissements des entreprises.

  • Cela permet également de conserver les taux d’intérêt à des niveaux peu élevés, puisque la banque centrale qui fixe les taux d’intérêt directeurs n’a pas besoin de restreindre les conditions de crédit pour atteindre son objectif de politique monétaire. Ceci est favorable à la croissance économique car les ménages et les entreprises peuvent emprunter à des conditions financières incitatives, tant en termes nominaux (le niveau des taux d’intérêt) que réels (le niveau des taux d’intérêt diminué de l’inflation).

Une inflation trop forte est toutefois nocive

Si l’inflation progresse trop fortement, cela peut avoir des répercussions dommageables pour l’économie tout entière :

  • Cela entraîne une dégradation de la compétitivité prix des produits fabriqués dans le pays par rapport aux produits fabriqués à l’étranger. En effet, si les prix des produits domestiques deviennent plus élevés que les mêmes produits fabriqués à l’étranger pour une qualité comparable, la demande étrangère risque de diminuer (baisse des exportations) alors que la demande interne pour les produits étrangers risque d’augmenter (hausse des importations). Il en résulte une baisse de l’activité pour les entreprises domestiques qui est susceptible d’entraîner des réductions d’effectifs et donc une progression du chômage.

  • Cela renforce l’incertitude quant au niveau futur des prix. Aussi, les entreprises adoptent des comportements prudents en matière d’investissement car la rentabilité de ceux-ci est difficile à anticiper. Une trop forte inflation risque donc de réduire les investissements productifs et donc le potentiel de croissance.

  • Cela pénalise les ménages si leurs salaires ne sont pas indexés sur la hausse des prix. Ils subissent alors une perte de pouvoir d’achat qui peut les amener à réduire leur consommation ou à désépargner pour maintenir leur niveau de vie.

  • Mais cela  favorise les emprunteurs car le niveau réel de leur dette diminue. Par contre, elle pénalise les créanciers pour les raisons opposées.

     

    Source la Finance pour tous lafinancepourtous.com 

 
par pratclif at Monday, June 27, 2022 No comments:
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rubriques: inflation, pouvoir d'achat

5/9/22

Inflation: durcir la politique monétaire n'est pas la solution

Source Xerfi Canal Olivier Passet

Face à la flambée inflationniste qui s’étend les banques centrales semblent étrangement inertes. On observe bien un changement de tonalité, plus net du côté de la FED que de la BCE. La banque américaine a relevé de trois quart de point ses taux directeurs entre mars et début mai  et envisage de les mener par pallier dans une fourchette de 1,75-2% d’ici fin 2022. La BCE pour sa part se contente pour l’instant d’un effet d’annonce flou sur une remontée de ses taux d’intervention courant 2022, qui pourrait être amorcée vers juillet. En vérité, il s’agit d’une réponse très molle. Non seulement cette action est tardive, au regard des délais habituels de réaction des banques centrales qui agissent et même surréagissent normalement à l’inflation par anticipation.

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par pratclif at Monday, May 09, 2022 No comments:
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rubriques: BCE, inflation, Olivier Passet, xerfi canal

5/7/22

l'Inflation est de retour: Telos Charles Wyploscz

Depuis une dizaine d’années, l’inflation était basse, en dessous des objectifs que s’étaient fixés la plupart des banques centrales des pays développés. Elles ont tout essayé, y compris des instruments jamais utilisés auparavant, mais rien n’y faisait, elles n’arrivaient pas à faire remonter le taux d’inflation Tout à coup, l’inflation a surgi sans prévenir et la question du pouvoir d’achat est devenue prépondérante. Mais d’où vient-elle ? Comme on peut s’y attendre, les débats font rage, justifiant un petit tour d’horizon. Suite via Telos.
par pratclif at Saturday, May 07, 2022 No comments:
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rubriques: inflation

2/10/22

Inflation: encore une angoisse.

Les facteurs inflationnistes sont conjoncturels et structurels

Il n’est plus possible de soutenir que le retour de l’inflation est momentané et qu’une fois les goulots d’étranglement de la reprise mondiale résorbés, tout reviendra dans le meilleur des mondes de la stabilité des prix.. Suite via Telos Eric Chaney 

par pratclif at Thursday, February 10, 2022 No comments:
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rubriques: inflation

12/18/21

Pouvoir d'achat: hausse des prix.

  • Le logement représente le 1er poste de dépenses pour les ménages modestes, le 4e pour les plus aisés
  • La part des dépenses de logement diminue avec la taille du ménage 
  • En 40 ans, moins d’écarts sur l’alimentation mais davantage sur le logement selon le niveau de vie 
  • Voir les données sous forme graphique
  • Voir les données en tableau de chiffres
  • Source: le dossier de l'INSEE 



par pratclif at Saturday, December 18, 2021 No comments:
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rubriques: inflation, insee, pouvoir d'achat

12/16/21

Inflation : aux Etats-Unis et en Europe c'est différent... Voir pourquoi

 


par pratclif at Thursday, December 16, 2021 No comments:
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rubriques: inflation

11/15/21

Inflation: effet Covid; transitoire ou durable: Xerfi Canal Olivier Passet

Source Xerfi Canal Olivier Passet

Nous ne vivons sans doute pas un tournant inflationniste de notre régime de croissance. En revanche, l’épisode que nous traversons pourrait s’avérer plus persistant qu’attendu. La poussée inflationniste est bien là : c’est un fait et elle ne faiblit pas. Elle bat son plein en amont, au stade de l’approvisionnement en matières premières. Elle a gagné les prix de production, en Europe, comme aux États-Unis. Et elle pénètre maintenant le noyau dur du panier de consommation : l’inflation sous-jacente, c’est-à-dire ce qu’il reste de l’inflation lorsque l’on élimine l’énergie et les produits agricoles. Les pointes que l’on observe aujourd’hui en Europe, et encore plus aux États-Unis, sont historiques de mémoire de millenium du moins. Il se passe donc bien quelque chose sur le front des prix.

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par pratclif at Monday, November 15, 2021 No comments:
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rubriques: coronavirus, inflation

9/6/21

Hausse des prix ou Inflation? quelle différence?

Les automobilistes qui ont pris la route cet été ont eu une désagréable surprise en passant à la caisse des stations services. Selon les derniers chiffres communiqués par la Direction générale de l’énergie et du climat, le prix moyen du diesel s’est affiché à 1,43 euro le litre en moyenne en août contre 1,28 en début d’année soit une envolée de plus de 12%. C’est encore plus pour le sans plomb 95 qui à près 1,56 euro le litre a fait une embardée de 15% sur la même période. Conjugué à la hausse du prix du gaz, de la baguette, du café, des pâtes, etc. La facture du panier de la ménagère s’est brutalement alourdie. En amont, les matières premières sont en ébullition. Depuis son dernier point bas de la fin avril 2020, l’indice général de Goldman Sachs a plus que doublé pour nettement passer au-dessus de ses niveaux d’avant crise. Sa remontée rapide pose le problème d’un embrasement capable de dégénérer comme en 2010 ou plus encore comme en 2008.
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par pratclif at Monday, September 06, 2021 No comments:
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rubriques: inflation, pouvoir d'achat, prix

6/2/21

Fipeco - Actualité: Retour de l'inflation? Pour faire baisser le ratio dette sur PIB?

Si des hausses de prix ont été récemment observées aux Etats-Unis, les perspectives d’une reprise de l’inflation restent incertaines et le présent billet n’a pas pour objet de trancher les débats entre économistes sur les prévisions d’inflation pour les prochaines années. Il présente seulement les conséquences d’une inflation plus forte, notamment sur la dette publique.  Celle-ci a souvent dépassé 100 %, parfois 200 %, du PIB dans les périodes de guerre et a sensiblement diminué dans les périodes d’après-guerre, qui ont été souvent marquées par une forte inflation (mais aussi une forte croissance en volume du PIB). S’appuyant sur de tels exemples historiques, les économistes soutiennent parfois que l’inflation est une solution pour réduire la dette publique sans augmenter les impôts ou diminuer les dépenses publiques.  Suite Fipeco par François Ecalle...

par pratclif at Wednesday, June 02, 2021 No comments:
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rubriques: déficits et dettes, inflation, PIB

5/19/21

Regardez "Et demain le piège de l'inflation ? - Une interview de Patrick Artus" sur YouTube

Et demain le piège de l'inflation ?
par pratclif at Wednesday, May 19, 2021 No comments:
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rubriques: bourses, économie, inflation

5/13/21

Inflation aux Etats-Unis: Hausse des prix relatifs ou de l'inflation : pourquoi connaître la différence est important; un article traduit de la FED de Cleveland

Presque tout le monde utilise le mot inflation pour désigner toute augmentation des prix, mais il devrait être réservé à une seule sorte d'augmentation des prix. L'inflation réelle a une cause différente — et un remède différent — que les hausses de prix des biens et des services causées par l'évolution constante des conditions de l'offre et de la demande. La Réserve fédérale peut et doit agir pour contrôler l'inflation, mais lorsque des variations relatives des prix font pression sur les entreprises et les consommateurs, la Fed ne peut pas faire grand-chose.
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par pratclif at Thursday, May 13, 2021 No comments:
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rubriques: inflation, prix

3/19/19

Pourquoi cette baisse structurelle de l'inflation Michel Aglietta avec Xerfi Canal


par pratclif at Tuesday, March 19, 2019 No comments:
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rubriques: économie, inflation, xerfi canal
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