Aujourd’hui, c’est le jour de l’image, celui où sont présent-e-s des centaines de journalistes, celui où peuvent enfin partir les personnes qui attendaient parfois depuis des semaines ou des mois, ayant fait le choix souvent par défaut de rester en France, une précieuse place dans un Centre d’Accueil et d’Orientation (CAO – voir ici, ici, ici et là). L’expulsion et la destruction à proprement parler ne commenceront que demain, la scène d’aujourd’hui est celle de personnes qui veulent partir, par choix ou par peur de la suite. Simplement, ce départ éclair pour raison d’expulsion rend des images de foules et d’exode, on a l’impression que des conditions plus dignes auraient pu être offertes dans un cadre plus apaisé.
Nicolas
Sarkozy est déjà dans le second tour de l’élection présidentielle de
2017. Réunissant à son QG de campagne ce mardi une soixantaine d’élus
qui le soutiennent, le nouveau candidat à la primaire leur a révélé que
le titre de son livre qui est aussi son slogan de campagne, Tout pour la France, deviendrait au lendemain du premier tour de l’élection du printemps prochain Tous pour la France.
« Car la question sera ce que chacun peut donner pour la France », a
expliqué celui qui, dans sa tête, s’apprête déjà à affronter Marine Le
Pen.
T vermillon. Un S à la place du T… Est-ce l’explication du choix de mettre en rouge ce T sur la couverture de l’ouvrage surprise de l’ancien chef de l’Etat publié par Plon ? Depuis sa divulgation lundi, cette lettre vermillon alimente toutes les conversations.
Au cours de la réunion, le député Bernard Reynès, qui l’accueillera jeudi à Châteaurenard (Bouches-du-Rhône) pour son premier meeting, lui demande en quoi il est différent de 2007 et 2012. « En 2007, c’était le but de ma vie. J’ai atteint le Graal, répond-il. En 2012, j’étais seul. Une partie de mes ministres n’étaient même pas avec moi. J’ai voulu leur prouver que j’avais compris le peuple et pas eux. En 2017, je le fais pour la France… »
Source: L'opinion Ludovic Vigogne
T vermillon. Un S à la place du T… Est-ce l’explication du choix de mettre en rouge ce T sur la couverture de l’ouvrage surprise de l’ancien chef de l’Etat publié par Plon ? Depuis sa divulgation lundi, cette lettre vermillon alimente toutes les conversations.
Au cours de la réunion, le député Bernard Reynès, qui l’accueillera jeudi à Châteaurenard (Bouches-du-Rhône) pour son premier meeting, lui demande en quoi il est différent de 2007 et 2012. « En 2007, c’était le but de ma vie. J’ai atteint le Graal, répond-il. En 2012, j’étais seul. Une partie de mes ministres n’étaient même pas avec moi. J’ai voulu leur prouver que j’avais compris le peuple et pas eux. En 2017, je le fais pour la France… »
Source: L'opinion Ludovic Vigogne