La télé tourne en boucle sur l'écran géant qui occupe tout un mur du salon. Seul dans sa retraite de Rueil-Malmaison, Jean-Marie Le Pen ne peut détacher son regard des images consacrant le triomphe de sa famille politique, entrée en masse à l'Assemblée nationale dimanche soir, à la faveur d'un scrutin législatif « historique ». Ce mercredi, les 89 députés du Rassemblement national effectuant leur rentrée se pressent pour la photo de groupe, dans la cour d'honneur du Palais-Bourbon.
Sur les sujets de société et de civilisation en France et dans le monde; et tout ce qui me passe dans la tête...
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30/06/2022
Immigration: L’arrivée de millions de réfugiés venus d’Ukraine a relancé le débat sur l’immigration
Inflation: Le monde d'avant-Covid, en matière d'inflation, ne reviendra pas, a estimé mercredi Christine Lagarde.
Regardez "Budget : quand les recettes fiscales coulent à flot..." sur YouTube
Regardez "Bourse : pourquoi il ne faut pas craindre la récession !" sur YouTube
Total energie: transition énergétique: La position de son président Patrick Pouyanné
28/06/2022
Pouvoir d'achat : la recette du gouvernement pour éviter le retour de la colère sociale: ciblage.
Baisse du chômage .... Le taux de chômage au dernier trimestre 2021 est plus bas qu'en 2019, avant la crise sanitaire
La forte baisse du chômage est analysée ici par léquipe de l'OFCE dans un rapport de 42 pages. "LE MARCHÉ DU TRAVAIL AU COURS DU DERNIER QUINQUENNAT" Lien pdf.
Des explications sont données ici sur le site de 20minutes.fr
Voir cet article de la Tribune du 17/5/2022.
mais attention: les deux documents mettent en garde contre le "halo du chômage" Quesaco?
«Ingénieurs, mes camarades, la France attend vos solutions, pas vos états d’âme!»
Vincent Le Biez est l’auteur de «Platon a rendez-vous avec Darwin» (Les Belles Lettres, 2021).
Ce week-end avaient lieu les cérémonies de remise de diplômes de l’École polytechnique. Comme pour d’autres grandes écoles - AgroParisTech, HEC ou Sciences Po -, ces cérémonies ont été l’occasion de discours dénonçant le «système», l’inaction climatique et la croyance que la technique peut résoudre les problèmes auxquels nous sommes confrontés (le fameux techno-solutionnisme). Désormais, à chaque remise de diplômes, on assiste à ce type de happening censé éveiller les consciences et montrer que nos jeunes élites ne vont pas tomber dans le panneau d’un système irresponsable et prédateur.
Ferghane Azihari: «Doit-on nécessairement être anti-moderne pour être écologiste ?»
Ferghane Azihari est délégué général de l'Académie libre des sciences humaines (ALSH) et membre de la Société d'économie politique (SEP). Il publie Les Écologistes contre la modernité aux Presses de la Cité.
FIGAROVOX. - Votre livre Les écologistes contre la modernité est sous-titré «Le procès de Prométhée». Dans le Principe responsabilité (1979), le philosophe Hans Jonas fait référence au mythe de Prométhée pour dénoncer les risques inconsidérés de certains comportements humains et de certains choix techniques, par rapport à l'équilibre écologique, social, et économique de la planète. Cherchez-vous dans ce livre à prendre le parti de l'accusé ?Augmenter les Salaires pour juguler l'inflation: une équation insoluble.
Thierry Breton recadre les producteurs d'énergie EDF, Total et Engie, à propos de leur alerte.
«J'appelle l'ensemble des énergéticiens, non pas à nous demander de réduire notre consommation d'énergie c'est très bien, mais à travailler eux-mêmes à augmenter leurs livraisons d'énergie pour l'Europe », a-t-il déclaré hier lors d'un point presse, organisé à quelques jours de la fin de la présidence française du Conseil de l'Union européenne, marquée par l'invasion russe de l'Ukraine.
Inflation - Salaires : "On ne pourra pas aider tout le monde", Eric heyer économiste de l'OFCE
"On ne pourra pas aider tout le monde", prévient lundi 27 juin sur franceinfo Eric Heyer, économiste, directeur du département analyse et prévision à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). Le ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, a prévenu sur BFM TV lundi 27 juin que "la cote d’alerte" a été atteinte concernant les finances publiques. Le gouvernement prévoit des aides ciblées pour aider les Français aux petits revenus de faire face à l’inflation. Il doit présenter le 6 juillet en Conseil des ministres sa loi sur le pouvoir d'achat et son budget rectificatif. Le Smic va augmenter automatiquement puisqu’il est indexé sur l’inflation. Mais l’économiste craint une "spirale inflationniste" si cette augmentation se diffuse sur tous les salaires.
Salaires : augmentation générale de 3,5% pour les fonctionnaires dès le 1er juillet
Le salaire des 5,7 millions d'agents publics va
augmenter de 3,5% le 1er juillet, a annoncé ce mardi le ministère de la
Transformation et de la Fonction publiques au Figaro, confirmant une information de l'AFP. Il s'agit de la première revalorisation du point d'indice de la fonction publique depuis février 2017. Depuis 2010, il n'avait progressé que de 1,2%.
Salaire inflation: les routiers en grève bloquent plusieurs zones industrielles
27/06/2022
Hausse des prix: comment le gouvernement va faire pour traiter le problème du pouvoir d'achat?
En France, l’inflation est mesurée mensuellement par l’INSEE à travers l’Indice des Prix à la Consommation (IPC) et l’Indice des Prix à la Consommation Harmonisé (IPCH). Ce dernier indice, ainsi que ceux produits par les différents organismes statistiques des pays membres de l’Union européenne, est utilisé par Eurostat (l’organisme européen en charge de la production de statistiques européennes harmonisées) pour calculer l’inflation en zone euro et dans l’Union européenne.
L’IPC et l’IPCH sont des indicateurs de variation mensuelle d’un panier de différents produits et services représentatifs de la consommation finale des ménages.
Quelles sont les principales composantes et variations de l’IPC ?
Pour calculer l’indice des prix à la consommation, l’INSEE observe la variation du prix de dizaines de milliers de biens et services. Le détail précis des prix étudiés n’est pas rendu public car si c’était le cas il deviendrait possible pour des producteurs et des commerçants de modifier uniquement les prix observés par l’INSEE, ce qui fausserait les statistiques.
Les biens et services sont réunis en grandes catégories auxquelles il est attribué une pondération, mise à jour annuellement, en fonction de leur poids dans la consommation moyenne des Français. Par exemple, en 2021, l’alimentation pèse 15,8 %, le logement 15,3 % (ce poids prend en compte les loyers et des charges, comme l’eau, l’électricité, etc.), la restauration 6 % et l’habillement 3,6 %.
L’IPC ne prend pas en compte l’évolution des prix de l’immobilier à l’achat. En effet, un achat immobilier est considéré comme un investissement et non comme une consommation. Pour calculer la pondération adossée aux loyers, il faut tenir compte du fait qu’environ 60 % des Français sont propriétaires et donc ne paient pas de loyer. La pondération des dépenses de loyers (généralement autour de 6 %) est une moyenne qui cache de grandes disparités entre les propriétaires et les locataires.
Entre 2000 et 2021, la hausse de l’IPC a été en moyenne de 1,4 % par an. Cette moyenne masque cependant des variations très différentes selon le type de produits. Par exemple, le prix du gaz a augmenté en moyenne de 4 % par an en moyenne au cours de la même période, le fioul domestique de 2,7 % et le tabac de 6,4 %. À l’inverse, les prix moyens de la santé ont baissé de 0,2 % par an, des loisirs de 0,32 % par an et des communications de 1,68 % par an, notamment du fait des baisses de prix dans l’informatique.
Les variations de prix tiennent compte de l’évolution de la qualité. Par exemple, si le prix d’un médicament ou d’une télévision reste identique mais que sa qualité a augmenté, l’INSEE considérera que son prix a baissé.
Il est possible, sur le site de l’INSEE, de calculer son inflation « personnelle » en fonction de ses propres habitudes de consommation.
L’inflation a des causes multiples
Il existe principalement quatre facteurs à l’origine de l’inflation :
L’inflation par les coûts
Lorsque les prix des matières premières s’accroissent, cela pèse sur les coûts de production des entreprises. Il en va de même si en raison de la faiblesse du chômage, ces dernières doivent augmenter les salaires pour pouvoir attirer de nouveaux employés.
En réaction, et pour conserver leurs marges bénéficiaires, les entreprises sont incitées à augmenter leurs prix, ce qui provoque un premier saut inflationniste. Toutefois, si les salaires sont indexés sur l’inflation, la hausse des prix est répercutée automatiquement sur le niveau des salaires, qui s’accroissent à leur tour. Il s’en suit une nouvelle hausse des prix et un cercle vicieux inflationniste se met en place.
C’est ce processus qui était à l’œuvre dans les économies occidentales au milieu des années 1970 après le premier choc pétrolier et qui a conduit à l’apparition de taux d’inflation annuelle élevés, supérieurs à 10 %.
L’inflation par la demande
Lorsque la demande de produits ou de services s’accroît mais que l’offre de produits et services n’arrive pas à s’adapter à ce surcroît de demande, les prix sont poussés à la hausse.
Les entreprises mettent en œuvre des programmes d’investissement pour accroître leur production et embauchent de nouveaux salariés, ce qui stimule davantage l’activité économique et la demande globale des ménages. Tant que les quantités produites ne parviennent pas à satisfaire la demande globale, le processus de hausse des prix se poursuit. Cette situation est typique d’une économie qui sort d’une phase prolongée de faible croissance ou même d’une récession.
Dans un contexte de sortie de conjoncture morose ou déprimée, les entreprises ne réagissent pas immédiatement à une hausse de la demande pour leurs produits car elles cherchent à écouler leurs stocks et préfèrent avoir la confirmation du caractère durable de la reprise avant d’investir.
L’inflation importée
Lorsque le taux de change d’une monnaie se déprécie par rapport au dollar et/ou aux autres principales devises de facturation du commerce mondial (essentiellement la livre sterling, le yen et l’euro), le coût des produits importés augmente.
Ce renchérissement des importations se répercute dans tous les secteurs de l’économie et touche les ménages autant que les entreprises. Ce phénomène peut aussi avoir pour origine une forte hausse des cours des produits énergétiques et agricoles sur les marchés mondiaux.
L’inflation par excès de création monétaire
Certains économistes qualifiés de « monétaristes » affirment que l’inflation « est toujours et partout un phénomène monétaire » (pour reprendre l’expression de leur chef de file, Milton Friedman). Ils considèrent en effet que l’inflation apparaît parce que le stock de monnaie circulant dans l’économie est trop important par rapport à la quantité de biens et services offerts.
C’est donc un excès de création monétaire par les banques commerciales ou par le financement du déficit public par la banque centrale (ce que l’on dénomme souvent par l’expression « faire fonctionner la planche à billets ») qui est à l’origine de l’inflation. Dans ce contexte, celle-ci est alimentée par un excès de demande et par la dépréciation du taux de change.
La stagflation, une situation économique a priori aberrante
La stagflation, contraction des mots « stagnation » et « inflation », désigne une situation combinant à la fois une faible croissance économique et une inflation élevée.
La théorie économique a longtemps considéré que cette situation ne pouvait pas se produire en raison de la relation qu’elle supposait inverse entre croissance et inflation : en phase de ralentissement conjoncturel, la politique économique visait à stimuler l’activité via le déficit budgétaire alors que la politique monétaire assouplissait les conditions du crédit. La croissance redémarrait en même temps que les prix progressaient. À l’inverse, si l’inflation était jugée trop forte, la politique économique devenait restrictive et la politique monétaire restreignait les conditions du crédit. L’activité ralentissait alors et la hausse des prix était contenue.
L’expression de « stagflation » a été créée dans les années 1970 pour caractériser une situation économique inédite, lorsque les prix du pétrole et des autres matières premières montant en flèche, ont entraîné à la fois une accélération de l’inflation et un fort ralentissement de la croissance dans les pays industrialisés.
Ce n’est qu’à partir du milieu des années 1980 que la stagflation a pris fin avec la mise en place de politiques de désindexation des salaires qui ont permis de faire reculer les taux d’inflation dans les pays occidentaux.
Une inflation modérée est bonne pour l’économie
Une hausse régulière mais modérée du niveau général des prix est l’objectif principal des politiques monétaires conduites par les grandes banques centrales. À ce titre, une progression de l’inflation de l’ordre de 2 % par an est considérée par la Banque centrale européenne (BCE) comme une cible optimale.
À un niveau modéré d’inflation sont, en effet, associés plusieurs avantages :
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Cela permet aux entreprises d’ancrer leurs anticipations de hausses des prix à moyen et long terme. Le caractère prévisible de ces dernières est favorable à la prise de décision d’investir, car il réduit l’incertitude sur les revenus futurs engendrés par l’investissement.
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Cela incite par ailleurs les ménages à placer leurs excédents de liquidités plutôt que de les thésauriser ou de les conserver sur leurs comptes bancaires. À défaut, l’érosion monétaire réduirait le pouvoir d’achat de leur épargne. Une inflation modérée contribue donc à assurer l’équilibre entre le niveau d’épargne et le niveau de l’investissement sans lequel les taux d’intérêt s’orienteraient à la hausse, limitant ainsi les projets d’investissements des entreprises.
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Cela permet également de conserver les taux d’intérêt à des niveaux peu élevés, puisque la banque centrale qui fixe les taux d’intérêt directeurs n’a pas besoin de restreindre les conditions de crédit pour atteindre son objectif de politique monétaire. Ceci est favorable à la croissance économique car les ménages et les entreprises peuvent emprunter à des conditions financières incitatives, tant en termes nominaux (le niveau des taux d’intérêt) que réels (le niveau des taux d’intérêt diminué de l’inflation).
Une inflation trop forte est toutefois nocive
Si l’inflation progresse trop fortement, cela peut avoir des répercussions dommageables pour l’économie tout entière :
-
Cela entraîne une dégradation de la compétitivité prix des produits fabriqués dans le pays par rapport aux produits fabriqués à l’étranger. En effet, si les prix des produits domestiques deviennent plus élevés que les mêmes produits fabriqués à l’étranger pour une qualité comparable, la demande étrangère risque de diminuer (baisse des exportations) alors que la demande interne pour les produits étrangers risque d’augmenter (hausse des importations). Il en résulte une baisse de l’activité pour les entreprises domestiques qui est susceptible d’entraîner des réductions d’effectifs et donc une progression du chômage.
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Cela renforce l’incertitude quant au niveau futur des prix. Aussi, les entreprises adoptent des comportements prudents en matière d’investissement car la rentabilité de ceux-ci est difficile à anticiper. Une trop forte inflation risque donc de réduire les investissements productifs et donc le potentiel de croissance.
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Cela pénalise les ménages si leurs salaires ne sont pas indexés sur la hausse des prix. Ils subissent alors une perte de pouvoir d’achat qui peut les amener à réduire leur consommation ou à désépargner pour maintenir leur niveau de vie.
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Mais cela favorise les emprunteurs car le niveau réel de leur dette diminue. Par contre, elle pénalise les créanciers pour les raisons opposées.
26/06/2022
Développement durable par DiploWeb Pierre Verluise - Yvette Veyret et Paul Arnould géographes
Yvette Veyret et Paul Arnould : La notion de développement durable (DD) définie dans « L’Atlas du développement durable » (éd. Autrement, 2022) est née dans les pays riches, de réflexions issues d’un double courant de pensée. L’un, économique plonge ses racines au XVIIIe siècle avec Malthus, l’autre, écologique, apparaît au XIXe siècle aux Etats-Unis et en Europe.
La dette publique française reprend sa folle croissance.
Jean-Marc Ayrault : « Le rôle du Premier ministre va redevenir central »
Patrick Artus – Quand déficit public signifie hausse d'impôts visibles ou cachés.
Le contexte économique va engendrer une hausse durable de la dette publique, dont la soutenabilité passera forcément par diverses formes de fiscalité.
Après la crise du Covid, avec la guerre en Ukraine, avec la transition énergétique, les dépenses des pays de l'OCDE vont fortement et durablement s'accroître. Il s'agit de dépenses militaires, de dépenses de santé, de dépenses pour la transition énergétique, pour la réindustrialisation, l'éducation et la formation… Il faut donc s'attendre à des déficits publics beaucoup plus élevés que ce qui avait été auparavant anticipé. En 2022, le déficit public devrait rester voisin de 5 % du PIB aux États-Unis et de 5 % du PIB dans la zone euro (où on s'attendait à 3,8 % du PIB).
TotalEnergies, EDF et Engie appellent les Français à consommer moins d'énergie | Le HuffPost
23/06/2022
Le politologue Gérard Grunberg sur le résultat des législatives 2022.
Pour les électeurs la réalité de la relation entre le RN et LFI est ici: Rachel Kéké
Pascal Perrineau : « La responsabilité d’Emmanuel Macron est immense »
Le séisme électoral des élections législatives risque-t-il de paralyser le travail parlementaire, d'entraver l'action du pouvoir exécutif et de bloquer l'administration du pays ? Faut-il s'inquiéter de cette « situation inédite », selon les propres termes de la Première ministre Élisabeth Borne. Il manque en effet 44 sièges au camp présidentiel pour bénéficier d'une majorité absolue à l'Assemblée nationale ?
Franz Olivier Giesbert - Les vacances forcées du président Gribouille
Le pire ennemi de Macron a toujours été lui-même. Après cinq ans de règne, il aura contribué, avec ses ruses à deux balles, à la prolifération des extrêmes de droite et de gauche, qui, après sa déroute électorale, vont désormais mener le bal, à commencer par le Rassemblement national, grand gagnant des législatives.
Législatives : la crainte d’une France “ingouvernable”
La Première ministre, Élisabeth Borne, l’a reconnu elle-même dimanche soir : les résultats des élections législatives créent une “situation inédite” susceptible de représenter “un risque” pour la France. Selon le décompte du journal Le Monde, le camp présidentiel a obtenu 246 sièges, très loin de la majorité absolue (289), l’alliance de gauche Nupes 142, le Rassemblement national 89 et Les Républicains-UDI 64.