Sur les 100 milliards du plan, une partie relève du trompe l’œil et/ou de crédits qui ne seront débloqués que dans « longtemps ». Pire en matière d’efficacité, les vrais investissements n’y représentent que la portion congrue.
Par une indéniable omniprésence médiatique hier et ce matin, le Premier Ministre a donc pu présenter les détails finaux de son plan de relance. Force est de constater que la gravité de la situation commande une forme d’action de court terme au moins des acteurs publics : à l’instar des autres gouvernements, le gouvernement français qui a du porter à bout de bras l’économie durant le confinement, se demande désormais comment juguler la chute de la demande finale et du PIB cette année ( -10% attendu).



