Éric Zemmour sur CNews. L'objet de curiosité, de stupeur et d'indignation du moment est un journaliste, polémiste et essayiste qui évolue pourtant dans le circuit depuis plusieurs décennies et n'a rien d'un talent émergent. Pourquoi un tel succès, mesuré à la fois par la progression des audiences de la chaîne et par la place qu'occupe Zemmour dans les esprits, au point qu'on parle parfois de «zemmourisation» de ces derniers?
Sur les sujets de société et de civilisation en France et dans le monde; et tout ce qui me passe dans la tête...
1/17/21
«Zemmour sur CNews», l'émission qui résume la transformation du paysage médiatique | Slate.fr
La fin du mythe de l’innocence américaine
Les États-Unis ont connu un grand nombre d’épisodes de violence politique beaucoup plus sanglants et destructeurs que ce qui s’est passé au Capitole à l’incitation de Donald Trump le 6 janvier.
Bannissement. C’est la “big tech” qui a destitué Trump en premier
Quelques jours après les émeutes du Capitole du 6 janvier, il semble peu probable que le président des États-Unis, Donald Trump, soit démis de ses fonctions d’ici à la fin de son mandat, le 20 janvier, ou que le Sénat se prononce sur sa destitution [à temps].
Mais Trump est confronté à un châtiment plus curieux, absolu et emblématique du XXIe siècle : c’est le secteur privé qui a décidé de l’écarter.
1/11/21
Olivier Passet, Xerfi - "Quoiqu'il en coûte" ? il faudra bien payer ! - Décryptage éco - xerficanal.com
Combien de temps encore
l’État français pourrait-il, quoi qu’il en coute, maintenir à flot les
revenus de la sphère privée, et limiter la casse de l’économie réelle ?
La résolution de la crise trouve aujourd’hui son issue dans la magie
d’un argent gratuit qui permet à la France et à la plupart des États
développés d’allonger des chèques sans les financer autrement que par la
dette. Si l’on devait faire un bilan très sommaire de la facture de la
crise au stade où nous en sommes, ce sont 400 milliards qui ont été
injectés dans l’économie, entre les pertes de recettes fiscales issues
de la crise, les trois plans d’urgence de 2020 et le plan de relance de
2021-2022. 400 milliards convertis en dette supplémentaire et dont la
collectivité est redevable à terme. Il y a là une ombre inquiétante qui
plane sur l’activité future. Car l’ardoise n’est pas effacée, elle est
juste différée dans le temps, et les points de croissance sauvés à court
terme risquent fort de se transformer en homéopathie de la rigueur qui
grève les perspectives des 20 années à venir. voir tous les liens quoi qu'il en coûte
Jean-Pierre Robin: «Les “choses dures” qui hantent Macron et l’empêcheraient de se représenter»
Un président ne devrait pas dire ça.«Peut-être que je devrai faire des choses dures dans la dernière année, dans les derniers mois parce que les circonstances l’exigeront, et qui rendront impossible le fait que je sois candidat (en mai 2022)», déclarait sans vergogne Emmanuel Macron le mois dernier dans un «entretien fleuve» sur le site Brut, consacré aux jeunes. Ce cocktail de parler vrai et de phrases sibyllines est détonnant. Le rôle d’un chef d’État serait-il d’instiller le doute et l’effroi chez ses concitoyens? À moins d’y voir un chantage, «moi ou le chaos»… Par Jean-Pierre Robin
La crise fatale de l'Etat face à la demande explosive de biens publics (santé, écologie, etc...) - xerficanal Olivier Passet
La crise sanitaire dévoile avec une acuité inégalée une de ces contradictions qui sont au cœur de la dynamique capitaliste. Ces contradictions qui font le lit des grandes crises qui ont jalonné son histoire, mais dont le dépassement est aussi le moteur de sa transformation. Elle révèle comme jamais le désire collectif de santé et la priorité des enjeux écologiques dans les préférences des agents. Partout, la protection de la vie humaine a pris le dessus sur la continuité des affaires, et partout l’enjeu environnemental s’est imposé comme moteur de relance.