Comme le soulignait Aimé Césaire en 1954 : « Le colonialisme n’est pas mort. Il excelle, pour se survivre, à renouveler ses formes
Les famines, disettes, guerres et autres malheurs qui accablent les peuples africains ne sont pas le résultat d’un quelconque atavisme, ni de cultures soi-disant allergiques au développement ou à la rationalité, de pseudo-guerres ethniques ou tribales, d’une prétendue allergie à l’Histoire. Ces catastrophes humaines sont le résultat logique des dépendances rapaces qui, de l’esclavage à la coopération en passant par la colonisation, ont permis le financement de l’accumulation primitive du capitalisme à ses débuts, la révolution industrielle du 18è siècle, l’expansion économique des deux siècles suivants, et continuent aujourd’hui à enrichir les actionnaires des multinationales et des banques. Suite...Pour aller plus loin "planter du blanc" Introduction à l’ouvrage de Saïd Bouamama
La lutte pour la fin de l’oppression coloniale en Afrique noire « francophone » : une composante essentielle de la Révolution multipolaire impulsée par la Chine, la Russie et les BRICS Lire...
Et discours d'Aimé Césaire sur le colonialisme (audio France culture).
Je me propose l'antidote suivante à ce discours anti occident. LIEN
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