Qu’on l’aime ou pas, le keynésianisme, selon lequel l’intervention
étatique reste le meilleur moyen de rétablir la croissance, domine
l’analyse des crises et la conception des politiques économiques depuis
85 ans. Dans ce paradigme bien enraciné, les crises s’expliquent par une
contraction inattendue de la demande, elle-même déterminée par des
raisons multiples et variées, comme une politique monétaire trop rigoriste en 1929-1936, ou une contraction du crédit par un secteur bancaire ayant pris des risques démesurés en 2008. Suite via Conversation
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