Si l’opinion publique a pu être surprise par la soudaineté et l’intensité de l’éruption de violences qui frappe la Nouvelle-Calédonie depuis le 13 mai, ce ne devrait pas être le cas du gouvernement qui, depuis des semaines, voire des mois, avait été alerté par de multiples canaux et mis en garde par des voix aussi autorisées que celles d’anciens Premiers ministres sur les dangers de la politique suivie dans son projet de révision constitutionnelle. Pourquoi, après trente-six ans de paix civile et de progrès, chaotiques sans doute mais progrès malgré tout, dans la construction d’un destin commun, en est-on arrivé à une situation que le haut-commissaire lui-même décrit comme « insurrectionnelle » ? Suite via Telos.. par Jean-François Merle Ancien conseiller de Michel Rocard pour l’Outre-Mer
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