Ecoutez l'interview du virologue américain Dennis Caroll (en anglais) et cet interview sur la radio NPR. l'Amérique était tout aussi mal préparée que la France à cette pandémie car les politiques ont pris le pas sur les scientifiques. Voici mon résumé du contenu de la première interview. Elle rejoint celle de Gaël Giraud sur Interdit d'Interdire avec Frédéric Taddei.La population d'Homo.sapiens a atteint 7.7 milliards d'habitants; quand je suis né en 1935 nous étions 2.2 milliards. Nous sommes devenus l'espèce dominante de la biosphère occupant tous les espaces terrestres de la planète, détruisant l'habitat des autres espèces animales pour nous nourrir, principalement de protéines animales, dont l'élevage des bovins en premier.
Nous avons transformé toutes les zones naturelles de la biosphère pour produire cette nourriture.
Du coup, les barrières de passage des virus entre les animaux et nous sont devenues plus faciles à franchir par cette intensification de l'agriculture d'élevage qui consomme les espaces naturels et par la croissance de notre population.
Ces espaces naturels sont aussi consommés par les activités minières qui alimentent l'économie - production et consommation de tout et en croissance exponentielle - de ces 7.7 milliards d'habitants.
Changement climatique, destructions de la bio-diversité, économie du toujours plus, transmissions de virus à l'homme et pandémies virales, tout cela est lié. Le nombre de virus connus est énorme, des millions, peu d'entre eux sont léthaux pour l'homme, mais depuis 1900, c'est à dire l'accélération du genre humain, il y en a eu plus qu'au cours des 3000 ans précédents. Ce qui suggère bien une relation avec la croissance d'Homo.sapiens et sa façon d'occuper la planète.
C'est la raison pour laquelle nous ne sommes pas condamnés au changement climatique, ni aux pandémies virales léthales... Il faut seulement que nous repensions la manière dont nous habitons la planète, notamment notre consommation de proteïnes et la manière dont on les obtient.
Il ne faut pas qu'après la crise en cours, lorsque les populations et les médias auront cessé d'y porter attention, comme pour le Sras, le H1N1 ou l'ébola ,on revienne à l'avant, en attendant la prochaine pandémie, car il y en aura d'autres.
Il faut qu'au niveau de la planète toute entière, notre espèce Homo.sapiens élabore une stratégie commune pour faire échec aux prochaines pandémies, et que l'on repense la manière d'occuper notre planète. Il faut que les politiques de tous les pays s'y mettent pour élaborer un programme commun, appliqué par tous et qu'ils écoutent les scientifiques de toutes les disciplines pour y parvenir. On en revient à la méthode Greta Thunberg pour le changement climatique, mais coronavirus et changement climatique, même combat.
Ecouter l'interview de Dennis Carroll
Difficile voir impossible !
RépondreSupprimerLes sous ...sous. HOMO.SAPIENS américains ne pensent qu’à eux , » volent » les masques destinés aux français en chine (en offrant 3» fois le prix )(entres autres) .Ce sont les HOMO SAP0TRUMPIENS. Ils vont repeupler la Planète .
La Russie et les USA commercent avec des Bateaux gigantesques en cachette pour lutter
Contre le coronavirus virus.Avec La Chine et L’Inde aussi .
La Chine et l’Inde sont trop peuplée pour s’occuper des autres ( de nous !)
L’HOMO SAPIENS. Européens fait le beau , mais n’a rien , sa survie dépend des autres , il va falloir si il veut vivre et ne pas disparaître , évoluer ( théorie !) . Il va falloir qu’il s’adapte et qu’il ne compte que sur lui ! Toute la Mondialisation dans toutes les disciplines indispensables doit etre arretée.On doit tout refaire chez nous ! Nous avons la matière grise qu’il faut ! Il faut
Que nous redevenions indépendants , et suffisants dans tous les domaines , nous le pouvons ,nous le devons,le vieux continent doit se réveiller ,doit survivre et revivre .Si nous ne fesont pas nous disparaîtrons et les HOMOSAPOTRUMPIENS auront broutés la planètes pour eux .
La planète avec des Trump et Poutine n’existe qu’en rêve ,c’est leur super MARCHÉ.
pour avoir une réponse unanime, il faudrait que les pays du G20 soient impacté fortement et de manière similaire, avant la prochaine catastrophe climatique.
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