27/02/2012

Argentine, l'imagination au pouvoir ?



Argentine "l'imagination au pouvoir"... populisme vanté par Hervé Chabalier sur France 5 (lien). Un émission trompeuse en bien des aspects, pour ceux qui connaissent l'Argentine...
On ne peut pas avoir vu cette émission sans prendre connaissance de la réalité (lien).

Voir aussi les liens google.

4 commentaires:

  1. L'austérité c'est la nécessaire remise en ordre de l'économie par le politique; l'adaptation des équilibres macro-économiques tenant compte de la production, de sa croissance, de sa répartition entre l'état et le privé, entre les riches et les pauvres. La mauvaise gouvernance comme en Argentine avant leur crise de 1999 à 2002, ou la Grèce ... conduit à une situation intenable et explosive... L'Argentine s'est sauvée de l'hyperinflation en accrochant sa monnaie au dollar à parité de 1 pour 1... Le Chili 10 ans avant avait fait pareil. Puis la dévaluation est venue; de 1 peso pour 1 dollar on est passé à 3 pesos pour 1 dollar. C'est ce qui a permis le rebond par les exportations redevenues compétitives. Et on a spolié les investisseurs et les créanciers étrangers. En Grèce pas question de dévaluer, il faut donc en passer par l'austérité, mais là aussi les investisseurs étrangers paient.

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  2. Grèce aujourd'hui = Argentine il y a 10 ans; pourquoi les leçons de l'Argentine apprises par le FMI ne sont pas prises en considération pour la Grèce? Lire...

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  3. - Nous avons sauvé les gens plutôt que les banques. Roberto Lavagna | article de Libération.
    En l'absence d'aide massive pour la Grèce de la part des autres pays de l'€, la seule solution sera la sortie de l'€ et le défaut!

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  4. Reprendre sous ce titre ce que Roberto Lavagna - ex ministre d'un gouvernement populiste - a dit au journaliste est trompeur. Les banques sont les intermédiaires des épargnants et investisseurs avec l'économie du pays. La situation de l'Argentine était le résultat de mal gouvernance. Il fallait tôt ou tard payer la facture. Tout le monde a du payer... le peuple d'abord, les épargnants et les investisseurs nationaux et étrangers ensuite.

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