Facebook trop c'est trop et c'est mauvais pour la santé! en faire usage modéré et se déconnecter!

It’s pretty well accepted that social media is a serious time suck. (In fact, here are six ways that it ruins your life.) You log into Facebook with the best of intentions, and come out an hour later having consumed more information than anyone ever should about poop memes and the sweet new sports car your old high school buddy just bought.

When you finally return to the land of the living, it’s easy to feel a little off. And now, new research published in the American Journal of Epidemiology has found you’re not alone.

For the study, researchers used three waves of data from 5,208 people in the nationally representative Gallup Panel Social Network Study survey, in combination with measures of Facebook use. They stacked that up against self-reported physical and mental health, as well as life satisfaction and BMI, and also got information on participants’ real-world social networks.

What they found wasn’t pretty: Overall, researchers concluded that the use of Facebook was negatively associated with a person’s well-being. Meaning, the more you use Facebook, the crappier you feel.

Researchers found quantifiable measures of this: For every time a person liked someone else’s content, clicked on a link to another site or article, or updated their own Facebook statues, their self-reported mental health decreased five to eight percent. However, the same wasn’t true for real-world interactions with friends—those were shown to make people feel better about themselves.
Researchers say in write-up in the Harvard Business Review that they’re not totally sure why Facebook use bums people out, especially since they didn’t see much difference in liking, posting, and clicking links, and how it impacted a person. “While we expected that ‘liking’ other people’s content would be more likely to lead to negative self-comparisons and thus decreases in well-being, updating one’s own status and clicking links seemed to have a similar effect,” they wrote.

However, they point out that quantity seems to matter more than quality when it comes to Facebook use. Meaning, you’re probably not going to feel amazing if you spend a ton of time on the social network.

Of course, this doesn’t mean that everyone who uses Facebook is going to leave it feeling like crap. Instead, it’s important to limit your use. Also, keep in mind that your friends put the best versions of themselves on social media and fail to mention the bad, annoying, and lame things that happen in their life, too. Mentally beating yourself up over the fact that you’ve never done anything as adventurous as cliff-diving like your college roommate is worthless. And, by the way, he probably failed to mention the monster wedgie he got from the ocean as a result.

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Langue source : Français

pierreratcliffe.blogspot.frFacebook trop c'est trop et c'est mauvais pour la santé! en faire usage modéré et se déconnecter!3-4 minutesIl est très bien accepté que les médias sociaux soient un bon temps. (En fait, voici six manières dont cela vous ruine). Vous vous connectez à Facebook avec les meilleures intentions, et sortez une heure plus tard, vous avez consommé plus d'informations que jamais au sujet des mèmes caca et de la douce nouvelle voiture de sport ancienne Le copain du lycée vient d'acheter.
Lorsque vous revenez enfin au pays des vivants, il est facile de vous sentir un peu éteint. Et maintenant, une nouvelle recherche publiée dans l'American Journal of Epidemiology a révélé que vous n'êtes pas seul.


Pour l'étude, les chercheurs ont utilisé trois vagues de données provenant de 5 208 personnes dans l'enquête sur le réseau social Gallup Panel, représentée au niveau national, en combinaison avec des mesures d'utilisation de Facebook. Ils ont empiétement contre la santé physique et mentale autodéclarée, ainsi que la satisfaction de la vie et l'IMC, et ont également eu des informations sur les réseaux sociaux des participants.
Ce qu'ils ont trouvé n'était pas beau: dans l'ensemble, les chercheurs ont conclu que l'utilisation de Facebook était négativement associée au bien-être d'une personne. Autrement dit, plus vous utilisez Facebook, plus crappier vous sentez.
Les chercheurs ont trouvé des mesures quantifiables de ceci: Pour chaque fois qu'une personne aimait le contenu de quelqu'un d'autre, a cliqué sur un lien vers un autre site ou un article, ou a mis à jour ses propres statues de Facebook, leur santé mentale autodéclarée a diminué de cinq à huit pour cent. Cependant, la même chose n'était pas vraie pour les interactions du monde réel avec les amis, ce qui a amené les gens à se sentir mieux sur eux-mêmes.
Les chercheurs disent en écriture dans Harvard Business Review qu'ils ne sont pas totalement sûrs de ce que Facebook utilise les personnes bums, surtout parce qu'ils n'ont pas vu beaucoup de différence en aimant, en publiant et en cliquant sur les liens, et comment cela a eu une incidence sur la personne. "Alors que nous nous attendions à ce que« aimer »le contenu d'autres personnes serait plus susceptible de conduire à des auto-comparaisons négatives et donc à diminuer le bien-être, la mise à jour de son propre statut et les liens de clic semblaient avoir un effet similaire», ont-ils écrit.
Cependant, ils soulignent que la quantité semble être plus importante que la qualité en ce qui concerne l'utilisation de Facebook. En d'autres termes, vous ne serez probablement pas étonné si vous passez beaucoup de temps sur le réseau social.
Bien sûr, cela ne signifie pas que tous ceux qui utilisent Facebook vont le laisser se sentir comme une merde. Au lieu de cela, il est important de limiter votre utilisation. Aussi, gardez à l'esprit que vos amis mettent les meilleures versions d'eux-mêmes sur les réseaux sociaux et ne parviennent pas à mentionner les choses mauvaises, ennuyeuses et dérangées qui se produisent dans leur vie aussi. Je vous trompe mentalement sur le fait que vous n'avez jamais fait quelque chose d'aventureux que la plongée sous plongée comme votre colocataire n'est pas utile. Et, d'ailleurs, il a probablement omis de mentionner le monstre wedgie qu'il a obtenu de l'océan en conséquence.

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