Cher François! On t'avait bien dit, l'an dernier, que l'organisation d'une primaire à gauche rendait difficile la préservation du prestige présidentiel.
Ce n'était pas nouveau, et c'était tout à fait prévisible: le matin, tu es président à l'Elysée, tu reçois des chefs d'Etat, Merkel t'appelle pour te remonter les bretelles, tu appelles Trump pour lui mettre un bonnet d'âme. L'après-midi, tu fais des réunions où tu décides de faire la guerre dans des endroits ou des déserts dont on n'a jamais entendu parler. Et le soir, tu te retrouves à un débat télévisé avec Marie-Noëlle Lienemann et Gérard Filoche où tu te fais traîner dans la boue parce que tu ne donnes pas assez d'argent aux pauvres. Et le lendemain, Angela te rappelle pour te demander si tu as bien dormi et si tu ne regrettes pas d'être allé tirer ton coup rue du Cirque avec un ridicule casque de Vespa sur la tête, un de ces casques que même les Napolitains ne portent plus. Parce qu'avec la déculottée que tu t'es prise la veille au soir devant plusieurs millions de Français sur tes frasques, les autres chefs d'Etat (et même les dirigeants d'autres planètes, ceux qui à Jean-Claude Juncker parle) commencent à te prendre encore moins au sérieux qu'avant. Suite...
intéressants ces blogs à la zemmour, ils donnent une bonne idée du stock de fiel dont dispose une partie de la droite extrême ...
RépondreSupprimerde quoi aider fillon à remettre en selle, avec son programme, l'idée d'une gauche susceptible de protéger le plus grand nombre des excès non plus de la mondialisation mais de la prise en charge de ses méfaits par le bon peuple pour préserver les patrimoines de nos zélites!