24/11/2013

De l’écotaxe aux « bonnets rouges » | Fondation Copernic

Les récents événements en Bretagne sont d’une importance politique majeure. L’instauration d’une écotaxe, votée sous Nicolas Sarkozy par la droite et la quasi totalité de la gauche et sur le point d’être mise en œuvre par le gouvernement Hollande, a déclenché une révolte qui voit se coaliser salariés licenciés, patrons licencieurs, régionalistes radicaux, petits commerçants et artisans touchés par les conséquences de la désindustrialisation et de la crise de l’agroalimentaire. Comment en est-on arrivé là ? ... Suite...

- En savoir plus sur écotaxe et bonnets rouges.

1 commentaire:

  1. Quel que soit le think-tank, les idées sont à prendre au sérieux pour mieux comprendre l'état des choses, les réalités du monde! Mais tout n'est pas conforme aux réalités, au sens des causes qui ont conduit à "l'état des choses, irréfutable" insatisfaisant et de l'action possible pour changer l'état des choses vers plus de satisfaction.
    Dans cet article de la Fondation Copernic - un cercle de réflexion critique du libéralisme [lien] - on y trouve une stigmatisation de l'entreprise, des patrons, du profit et du gagner de l'argent. La finalité d'une entreprise doit être le profit, c.a.d une différence positive la plus élevée possible entre le produit de la vente de ses produits et leur coûts de production (*); c'est ce qui permet l'épargne, l'accumulation du capital, l'investissement et la croissance de la production pour satisfaire une population croissante et la satisfaction des besoins de la population. Certes, entre le "libéralisme" des classiques - Adam Smith, Jean Baptiste Say, Frédéric Bastiat et autres, et le "néo-libéralisme" ou "ultra-libéralisme", il y a la différence entre la théorie et la pratique [voir ce lien].
    (*) les personnels sont un coût pour l'entreprise; coût qui correspond à la rareté de ce facteur, c.a.d les degrés des savoirs faire, des qualifications, des qualités caractérielles, de management et de direction. Toutes les entreprises ne suent pas sang et eau de leurs personnels. Et celles qui le font ne peuvent pas le faire pas longtemps.

    - En savoir plus: l'action humaine de Ludwig von Mises

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