09/01/2013

A quel âge faut-il mourir pour éviter de tomber dans la pauvreté ? | Atlantico

La France entière s’est émue de l’histoire d’une vieille dame de 94 ans qui a été mise à la porte de sa maison de retraite en raison d'impayés. En dehors des très riches, la vieillesse en France mène-t-elle nécessairement à la pauvreté?
Voici encore un excellent article du site Atlantico... Un vent nouveau sur l'Info. Une méthode de travail de journalisme qui réagit sur des faits sociaux en faisant appel à des "experts" cad. à des gens qui travaillent sur le sujet... Atlantico et ses "experts" suscitent la réflexion et la diffusion d'idées salutaires pour la transformation de la société    Suite...

 En savoir plus:
Faut-il autoriser les seniors qui le veulent à travailler jusqu’à 75 ans ?
Ces seniors que la retraite à 60 ans angoisse (et que l’on écarte un peu vite du marché du travail)
La démographie, ce facteur si souvent oublié : des systèmes de protection sociale au bord de l'explosion

1 commentaire:

  1. @Atlantico: Merci pour ces idées. Je propose d'ajouter ces compléments.

    1: La prise en charge des personnes âgées par la collectivité sous la forme de dépenses publiques et de taxes supplémentaires serait un nouveau pas vers le collectivisme et la servitude du socialisme. La société est d'abord faite d'individus, de couples et de familles, de différents âges et générations, chacun avec son flux de pensées et d'actions permanent, de la naissance à la mort; les grands-parents sont essentiels pour le développement des enfants; s'occuper de ses vieux parents est une nécessité vitale à laquelle nul ne s'abstrait.

    2: Quand les revenus financiers récurrents ne suffisent pas à assurer les conditions de vie de ses parents, et qu'un patrimoine immobilier ou mobilier existe, il faut utiliser ce patrimoine. Nul n'a l'obligation de léguer un héritage à ses enfants. C'est du bon sens et la grande majorité des gens le comprend et le fait.

    3: Notre société française souffre d'un État excessif par ses dépenses et par ses effectifs. L'excès de dépenses publiques et de fonctionnaires - 6 millions soit 25% de la population qui travaille - étouffe l'économie civile, crée et accroît le chômage, contribue à la désindustrialisation, à la perte de compétitivité, au déficit du commerce extérieur, aux déficits publics et à l'accroissement de la dette. Les syndicats empêchent toute réforme du système en s'accrochant à des idées du 19è siècle - lutte des classes - et à celles de la libération. La production civile atone voire en déclin et le chômage massif qui en est le corollaire, touchent les jeunes et les séniors exclus du système productif. Seule la population 35-55 ans est au travail. C'est une aberration.

    4: Le plein emploi de la population en âge de travailler 16-65 ans est un mythe. Toute l'évolution économique et sociale récente est allée dans le sens d'une diminution du travail, les jeunes faisant des études longues sans débouchés, les vieux mis à la retraite anticipée lors des restructurations, et les 35 heures... de sorte que le plein emploi ne s'applique qu'à la tranche d'âges 35-55 ans - 20 ans de vie seulement.

    5: Les entreprises sont des corps sociaux organisés restreints dans lesquels les salariés sont des acteurs à part entière comme les autres, chef d'entreprise, capitalistes, fournisseurs de produits intermédiaires et clients consommateurs des produits de la production. Les salariés doivent recevoir leur juste part des produits fabriqués, selon leur contribution, sous forme monétaire de leur part des ventes de la production; les salariés doivent avoir leur juste part de la satisfaction de produire au sein de l'entreprise, cela implique de la formation continue à l'amélioration des procédés de production y compris des changements de fonctions. Les entreprises qui réussissent ont compris cela.

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